De nombreux médias sont donc tentés de privilégier certains sujets en fonction de leur potentielle capacité à générer du "clic" et non de leur pertinence ou de leur cohérence avec une ligne éditoriale de plus en plus floue. C'est leur fonction d'agent de l'organisation politique et sociale qui disparaît. Pour reprendre le terme de Bernard Stiegler, on peut dire que l'on est passé de la démocratie à la "télécratie".