La seule chose qui donne un « ailleurs » à Renaldo, c’est la correspondance qu’il entretient avec sa famille et ses amis. Son vrai lieu de vie est là, dans ces lettres format maximum : vingt et un centimètres par trente-cinq.
C’est étriqué, mais c’est là qu’il réside, et c’est là qu’il s’échappe.