La lutte, c’est le théâtre des pauvres. Elle a toujours rassemblé des publics peu fortunés, avides d’histoires, pas assez riches pour fréquenter les salles de théâtre mais, comme tout le monde, désireux d’éprouver des passions, des sentiments comme la colère, la frustration, le ravissement devant la justice et l’indignation devant son contraire. La lutte met en scène des passions; des passions bien réelles qui animent l’Homme depuis ses origines.