« Je suis paralysée. La silhouette se lève. Elle tient fermement un couteau à la lame impressionnante dans sa main. Je sors de ma chambre et veux me précipiter dans les escaliers. Je glisse et tombe. Je ne peux pas me relever. La silhouette descend lentement vers moi, sûre d’elle. Son bras se lève. Je l’implore. Je l’implore de me laisser la vie sauve. La lame s’abat en fendant l’air et pénètre ma chair. Je la sens percuter l’os de ma clavicule avant de s’enfoncer dans mon cœur. »