Au début des années 1990, Wim Wenders m’appelle. Il me dit qu’il aimait bien mes chansons et qu’il pleuvait sur Berlin. Moi, j’étais en Corse, et il pleuvait aussi. Il voulait me voir. On s’est vus, à Paris, plusieurs fois. Il ne parle pas beaucoup et moi non plus. On s’est donc très bien entendu.