Il ne devait jamais s’attendrir sur Albert. Il se contentait de l’observer, d’un œil froid. C’était son fils sans être son fils. Le gamin l’appelait parrain. On lui avait expliqué que son père était mort. Peut-être Terlinck pensait-il que, si un jour Albert se montrait digne de lui…
Il n’en prenait pas le chemin…De tous les milieux où il vivait, il ne prenait que le mauvais.
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