Les premiers Bellier de Bourbon aimèrent l’est de la colonie où le sol était humide, les rendements meilleurs, la vie pas encore chienne.
On était alors au XVIIIe , un siècle presque doré où la terre appartenait au premier qui s’y établissait. Un colon fichait un piquet en terre, criait à pleins poumons « ceci est à moi », et ceci c’est-à-dire tout un tas d’hectares était à lui. À charge au nouveau propriétaire de les cultiver avec la bénédiction de la Compagnie des Indes.