AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Gabriele Liuba (18)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Virginia Woolf

A première vue, c'est-à-dire en le feuilletant, ce roman graphique était très tentant: des couleurs vives, des illustrations expressionnistes, une biographie d'une très grande auteure, on se demande comment ça peut foirer!

Et pourtant... ce roman qui commence par le suicide de Virginia Woolf nous replonge dans la rencontre entre celle-ci et Vita Sackville-West, poétesse au look androgyne qui deviendra un temps son amante. Lu comme ça, ce roman suggère que leur séparation serait à l'origine de son suicide, alors que la "cronologie" (sic) de sa vie revient sur sa bipolarité et ses nombreuses tentatives de suicides antérieures...

Bref, non seulement ce roman est un sacré raccourci de sa vie, mais il est aussi plat, insipide que les personnages paraissent ternes et sans vie, les regards, les métaphores, tout manque de subtilité, le tout est vraiment décevant. A se demander si l'auteure de ce roman graphique s'intéressait réellement à son sujet.
Commenter  J’apprécie          240
Virginia Woolf

De Virginia Woolf, je connaissais le très joli profil (sa somptueuse chevelure ♥), et sa fin tragique - les poches lestées de cailloux, ça m'a marquée.

J'ai également un recueil de ses textes (collection 'Classiques modernes' au Livre de Poche) ; je n'ai jamais eu le courage de m'y lancer.

.

Ce sont probablement les allusions de Neige Sinno à cette auteure dans 'Triste Tigre' qui m'ont donné envie d'en savoir davantage sur elle. D'où cet emprunt en médiathèque, alors que déjà, la graphisme sur la couverture me rebutait.

Dessins et couleurs sont évidemment identiques dans l'album, censés représenter les états d'âme de Virginia - orange/rouge feu de la passion, noir du désespoir.

.

La BD commence par le suicide de l'auteure, puis est séquencée par ses ouvrages (les plus célèbres ?), leur période de parution, et probablement des extraits.

Le fil conducteur est sa relation avec Vita Sackville-West, son amante - ses départs, ses trahisons...

.

Cette biographie elliptique me semble destinée à ceux qui connaissent déjà la vie et l'oeuvre de Virginia Woolf - à condition qu'ils adhèrent aux choix graphiques & narratifs de Gabriele Liuba.

.

_______

.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:George_Charles_Beresford_-_Virginia_Woolf_in_1902_-_Restoration.jpg

"portrait restauré de l'auteure et féministe britannique Virginia Woolf à 20 ans", George C. Beresford, 1902

Commenter  J’apprécie          230
Emily Dickinson

Emily est née, a vécu et est morte à Amherst, dans le Massachusetts. Enfant, elle a découvert qu’écrire était son talent, mais surtout sa survie. « Les mots sont des trésors. » (p. 12) Jeune fille assez solitaire, aux attachements fougueux, elle exprime un mysticisme particulier au contact de la nature et des mots. « La création est un mystère parfait, j’en tombe amoureuse d’un amour absolu. » (p. 33) Profondément marquée par la perte d’êtres chers, Emily s’enferme de plus en plus et finit par ne plus quitter sa chambre, recluse volontaire dédiée à la poésie. « Le mot est absolu. Tout mon monde est créé. Tout mon monde est création. Je n’ai besoin de rien d’autre. Dieu, quand j’écris, je te comprends. » (p. 86)

Cette poétesse n’en finit pas de me fasciner. Son œuvre est complexe et j’avoue ne pas tout comprendre, mais je suis touchée. Cette bande dessinée m’a donné envie de relire la poésie d’Emily Dickinson. Le dessin de Liuba Gabriele est superbe et me rappelle celui de Georgia O’Keeffe pour ses fleurs qui n’en finissent pas se déployer et ses cieux mauves vibrants. La couleur a un grain poudré qui apporte une douceur infinie aux images. J’ai glissé entre les pages avec délectation.

Commenter  J’apprécie          140
Virginia Woolf

Certes un bel album, haut en couleur, qui m'a aussitôt attirée... mais la compréhension en est difficile même en connaissant les grandes lignes de la vie de Virginia Woolf!

Après l'avoir lu, le résumé sur la fiche Babelio m'a permis d'en comprendre parfaitement le sens... depuis quand un livre n'est compris qu'avec son résumé? ne doit-il pas se suffire à lui-même en principe?

J'ai apprécié les dessins, pages après pages, mais indépendamment. Mis ensemble bout à bout, ils ne forment pas d'histoire ni de récit à mon humble avis. C'est une déception. J'attendais d'un tel ouvrage de mieux comprendre la personnalité choisie. J'ai l'impression de n'en plus rien savoir sinon des éléments confus. Dommage...

Commenter  J’apprécie          120
Virginia Woolf

Dans les étagères de @bdotaku j’ai trouvé ce petit livre paru en mars de cette année. Il s’agit du premier album de Liuba Gabriele, c’est une courte biographie de l’autrice anglaise Virginia Woolf.



Une biographie qui se concentre sur une période bien particulière de l’écrivaine. En décembre 1922, elle rencontre Vita Sackville-West. Cette rencontre va changer sa vie.



Le dessin aux crayons de couleur et pastels exprime parfaitement le trouble qui s’empare de Virginia Woolf. Elle sent le désir et l’amour l’envahir. Une longue relation passionnelle, le plus souvent épistolaire, va suivre. Ces lettres aux mots puissants disent tout de cette passion proche de la folie.



Une folie accentuée par le contexte historique. Les durs moments d’écriture succèdent aux voyages. Virginia doit suivre son mari. En 1928 parait « Orlando » roman inspiré directement de son amante. Puis plus tard c’est la guerre. L’album nous mènera jusqu’en 1941…



Ce petit livre flamboyant est un hommage puissant à cette femme qui écouta ses désirs et qui chercha à comprendre et exprimer ses sentiments. Une belle entrée dans l’univers de Virginia Woolf.



Commenter  J’apprécie          90
Virginia Woolf

Courte bande-dessinée axée principalement sur la relation entre Virginia Woolf et Vita Sackville-West, elle prend également pour trame l'écriture de ses ouvrages les plus célèbres tels que Mrs Dalloway, La promenade au phare ou Orlando.

Si je lui concède une réelle portée poétique ainsi qu'un regard doux et bienveillant sur la célèbre autrice, c'est malheureusement tout ce qui me permet de défendre ce livre.

En effet, aucune des relations de la célèbre actrice n'est approfondie, l'ensemble est assez plat et même le point culminant que devrait être la relation charnelle entre Virginia et Vita ne provoque aucun sursaut, aucun regain d'intérêt pour cette relation complexe.

Que vous soyez expert en la matière ou néophyte, ce livre est dispensable car dans un cas comme dans l'autre, il ne vous apportera malheureusement rien.

En revanche, je pense que les illustrations aux crayons de couleurs de Liuba Gabriele pourraient porter de magnifiques projets si elle s'associait à un.e scénariste de bande-dessinée.
Commenter  J’apprécie          60
Emily Dickinson

Amherst, MassachusettsParmi les collines, ma ville natale. Si je regarde en arrière, dans mes premiers souvenirs, il y a ma mère, distante, l'air triste et mon père qui déclame la bible avec passion. Les mots me submergent, ce sont des trésors. Il y aussi Flavinia, ma sœur, Austin, mon frère. Nous sommes tous ensemble et pourtant si seuls. Je serai différente.

Après "Virginia Woolf" (Des ronds dans l'O, 2022) Liuba Gabriele s'intéresse à la poétesse américaine Emily Dickinson. Elle se met à sa place et lui fait raconter, à la première personne, sa vie depuis son enfance (née en 1830) à son décès en 1886. Une vie plutôt recluse, où elle recherche la liberté, refuse le statut de femme qu'on veut lui attribuer, autour des mots, de quête de vérité, de relations épistolaires, de crainte de la mort.

Liuba Gabriele donne vie à l'imagination fertile d'Emily Dickinson, au monde onirique qu'elle se crée. Ses dessins, pastels et crayons, pétillent de couleurs et de courbes, qui entourent, enveloppent la jeune poétesse. C'est beau, foisonnant et très évocateur. Il n'y a pas que dans les mots que la poésie irradie !

Merci à Liuba Gabriele de nous faire découvrir pour la deuxième fois une figure féminine méconnue (pour ma part !) de la littérature. Je ne me lasse pas de ces biopics, surtout quand l'univers graphique est aussi singulier et poétique.
Commenter  J’apprécie          50
Virginia Woolf

Je m'attendais à une grande fresque illustrée comme "Anaïs Nin, sur la mer des mensonges" de Léonie Bischoff, mais je suis restée sur ma faim. Certes, les dessins sont magnifiques, mais le scénario, très court, ne fait qu'effleurer la vie de Virginia Woolf. Nous la suivons au bord de la rivière où elle s'apprête à se suicider. Tout en lestant ses poches avec des pierres, elle se remémore ses proches disparus, sa tendresse pour son mari Leonard et surtout sa grande passion pour l'autrice Vita Sackwille-West. Le problème, c'est qu'il faut à mon avis bien connaître l'autrice anglaise pour apprécier ce roman graphique. Tout n'est qu'allusions, rien n'est expliqué, seule la courte chronologie en fin d'ouvrage nous livre quelques informations précieuses pour mieux comprendre les tourments de Virginia Woolf. Alors, certes, ça me donne envie d'explorer son œuvre et de lire d'autres biographies. Mais cette envie naît de la frustration, alors qu'en refermant le roman graphique sur Anaïs Nin, c'est l'envoûtement qui nous pousse à continuer le voyage. Dommage.
Commenter  J’apprécie          40
Virginia Woolf

Sur Virginia Woolf, on a beaucoup écrit. Aussi, l'italienne Liuba Gabriele choisit de se concentrer sur une dimension en particulier de sa biographie : la relation avec l'écrivaine Vita Sackville-West dans les 20 dernières années de sa vie. En creux, on la voit écrire et réfléchir à ses principaux romans. Mais ce qui fait l'originalité de cette bédé, c'est surtout son dessin aux crayons de couleurs. Je crois que c'est le seul bouquin que j'ai lu réalisé avec cette méthode, et je dois dire que cela ne pas convaincu. Les traits sont assez réalistes sans être exceptionnels, et le traitement des couleurs donne un rendu assez déstabilisant… quelque chose entre la mélancolie et l'étrangeté. Bref, s'il y avait de chouettes idées de départ (sur le fond comme sur la forme) le résultat est assez vite oubliable.
Commenter  J’apprécie          40
Virginia Woolf

Un peu déçue par cette bande dessinée sur l’écrivaine Virginia Woolf. La bd s’attarde beaucoup sur sa relation avec Vita Sackville et peu sur son travail d’écriture en lui-même, son utilisation si particulière du flux de conscience et sa poétique de la langue, d’où ma déception. J’ai eu l’impression d’un survol assez superficiel de sa vie, donc un peu trop léger pour moi qui ait lu la plupart de ses œuvres. Après les illustrations sont vraiment superbes - les couleurs utilisées et le trait de l’illustrateur sont vraiment original et accrocheurs à l’œil, et la bd a le mérite de faire découvrir Virginia Woolf et sa personnalité complexe en une œuvre très accessible et qui donne, je trouve, envie de se pencher sur son œuvre aussi bien romanesque que ses essais sur la condition féminine de l’époque. Je suis donc contente de cette surprise littéraire même si j’étais un peu restée sur ma faim.
Commenter  J’apprécie          30
Emily Dickinson

Liuba Gabriele rend hommage à la merveilleuse poétesse américaine du XIXe siècle, Emily Dickinson. Elle fait le choix de ne pas traiter toute sa vie mais effleure chronologiquement une enfance mal aimée par des parents austères étrangers à la joie, une adolescence par un amour contrarié avec la future femme de son frère, Susan Hunting Gilbert et une vie d’adulte introvertie et recluse.



Elle dresse le portrait d'une femme passionnée et passionnante en conflit avec la vie, sous patterns ultra colorés. Les couleurs sont vives et les compositions régulièrement surchargées par des motifs créatifs qui puisent leurs inspirations dans un romantisme de l'époque victorienne. Les illustrations tout en rondeur, que je suppose aux crayons de couleur et aux pastels, semblent prendre vie en rendant le récit biographique immersif tout autant que le choix d'une narratrice interne. C'est Emily qui raconte en s'adressant à Dieu, un peu à la manière d'une voix off qui rythme les pages. Je vois aussi dans cette voix, un clin d'oeil aux milliers de correspondances qu'Emily entretenait avec ses proches et ses connaissances, alors qu'elle avait fait le choix, adulte, de demeurer recluse.



La dessinatrice italienne aborde ses planches avec beaucoup de précision avec des perceptives et des compositions complexes qui tendent parfois vers des situations imagées presque surréalistes comme par exemple lorsqu'elle laisse visuellement entrer un ciel parsemé de nuages dans une pièce. Par ce biais, elle retranscrit la liberté et la joie d'Emily enfant qui court dans la forêt, le mouvement est palpable, on sent presque le parfum des fleurs que l'on retrouve quasiment dans chaque case, que la poétesse associait toujours à des sentiments et des idées symboliques dans ses poèmes. Mais Emily, n'est pas que joie et bonheur, elle est fascinée par le morbide et la mort et pour matérialiser cette fascination autant que cette angoisse, Liuba Gabriele crée, le cavalier, un personnage cadavérique à l'immense cape noire, qui hante les pages dès qu'une morte frappe l'entourage de la protagoniste, jusqu'à danser avec Emily une sorte de tango mortuaire en double pages.



En guise de prologue, Lavinia, la soeur cadette d'Emily trahit sa promesse (pour notre plus grand bonheur), elle découvre ses poèmes et rend Emily Dickinson immortelle !



Bien que j'ai vraiment beaucoup aimé le style graphique de Liuba Gabriele, j'ai un petit bémol sur l'utilisation du crayon à papier (ou simplement du crayon de couleur gris) qui est trop présent sur le contour des visages et des mains. Leur présence peu définie m'a donné un sentiment d'inachevé, comme une étape préliminaire au dessin final qu'on a oublié d'effacer. Ce crayon m'a sorti de l'onirisme et de la beauté de certaines illustrations. Aussi, je crois que j'aurai aimé une immersion plus importante dans l'oeuvre d'Emily Dickinson, peut-être des apartés, des extraits de ses poèmes mis en image ?



** Lu dans le cadre du Grand Prix de la BD ELLE 2024

Commenter  J’apprécie          20
Emily Dickinson

Délectation visuelle comme les photos le montrent : un enchantement onirique. J’ai été, à ma grande surprise, totalement charmé par les graphismes et les couleurs.

Délectation littéraire tant la musicalité des mots a su m’envoûter. Les mots m’ont immergé dans les pensées d’Emily Dickinson. J’ai ainsi pu découvrir ses forces, ses faiblesses, ses aspirations, ses craintes, sa prose…
Commenter  J’apprécie          20
Virginia Woolf

Très court roman graphique, hommage à l'écrivaine Virginia Woolf, pans de sa vie de 1922 à 1941.

Son mariage avec Leonard, sa rencontre et relation amoureuse avec l'écrivaine Vita Sackville-West, son oeuvre, sa vie intérieure riche, sa fragilité psychique.

Le dessin tourmenté et les couleurs intenses sont magnifiques et tendent de transcrire le "flux de conscience" de son oeuvre, les doutes, les failles intérieures de Virginia Woolf.

Commenter  J’apprécie          10
Emily Dickinson



Lorsque cette bd est sortie, l’acheter était inévitable… tout d’abord pour Emilie Dickinson, ensuite pour Liuba Gabriele et pour finir, elle est éditée par des ronds dans l’o.

Mais faut-il vraiment des raisons pour lire cette bd ?!



La poésie d’Emilie Dickinson se reflète au travers de ces pages. Une jolie biographie pour découvrir la vie de cette femme. Et le coup de crayon sublime cette bd.

Un charmant moment de lecture intense, vibrant et poétique !
Commenter  J’apprécie          00
Virginia Woolf

L’artiste italienne Liuba Gabriele revient sur les moments importants de la vie et de l'œuvre de Virginia Woolf en prenant le parti de suivre un fil rouge, celui de sa relation avec Vita Sackville-West.



Virginia est mariée à Leonard lorsque lors d’une soirée mondaine organisée par son beau-frère, elle rencontre pour la première fois Vita. Entre elles c’est le coup de foudre. Que Vita soit près d’elle ou au loin, elle occupe constamment les pensées de Virginia.



L’album est découpé en parties distinctes titrées qui tissent au fil des pages les grands thèmes de la vie de Virginia : l’écriture, la dépression, l’amour, la mélancolie. Le début et la fin, Virginia est née dans famille aimante mais vouée au malheur et finira par se suicider.



Le récit de Liuba Gabriele pose les grandes lignes de la vie de Virginia Woolf et charge au lecteur d’en apprendre plus par lui-même en s’appuyant sur la chronologie biographique et les œuvres de référence en fin d’ouvrage. Cela pourrait donner une sensation d’inabouti, de survolé. Cela pourrait.



Pour ma part, je suis totalement charmée par l’angle choisi par Liuba Gabriele. Elle a picoré des fragments de vie qui représentent bien l’image que je me fais de Virginia Woolf. J’ai retrouvé le ton mélancolique, la langueur, la délicatesse et la poésie que je trouve dans ses textes.



Le gros point fort de cet ouvrage étant ses illustrations. Les planches sont superbes (ses coups de crayons m’évoquent les coups de pinceaux de Van Gogh). C’est doux, coloré, expressif. C’est tout simplement magnifique.



Je n’attendais pas grand chose de cette lecture et finalement, je suis totalement charmée. On n’est pas loin du coup de cœur 😉




Lien : https://lejardindenatiora.wo..
Commenter  J’apprécie          00
Virginia Woolf

Liuba Gabriele a choisi de nous parler de cette grande autrice au fil de huit instants choisis sur les vingt dernières années de sa vie

Enivrées

Amoureuses

Créatrices

Tourmentées



Ses mots sont aussi poétiques et délicats que ses couleurs sont vives et ondoyantes.

Un contraste saisissant qui m'a emportée dans le mouvement de son trait, emprunt de l'élément aquatique. Ses cadrages se font photographiques, misent sur les perspectives, focalisent les détails. C'est magnifique !



Suivant le "flux de conscience" cher à Virginia Woolf, Liuba Gabriele use du "je". Nous sommes avec elle, dans ses pensées, sublimes, abimées et ressentons ses joies et affres. Comme des vagues



Il pourrait résulter un sentiment de trop peu. Personnellement, cette réserve aussi pudique qu'onirique, m'a conquise



De cette grande autrice, je ne savais pas grand-chose. Il me faut à présent la lire
Commenter  J’apprécie          00
Virginia Woolf

Grâce à ce trait audacieux et personnel, la sensibilité de Liuba Gabriele se superpose à celle de Virginia Woolf, permettant le surgissement d’une succession de tableaux, au charme incontestable et à l’émotion simple. Hommage à une immense artiste, mise en image de troubles concernant tout être humain, album criant le plaisir de l’image et de sa collision aux mots, Virginia Woolf saura séduire les lecteurs les plus aventureux.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
Commenter  J’apprécie          00
Virginia Woolf

Un beau crayon de couleur, envoutant et délicat, de très belles ambiances pastelles qui invite le vent, les vagues à notre lecture… Un magnifique hommage à la délicatesse de cette femme toujours bien présente dans le creux de ses livres !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gabriele Liuba (116)Voir plus

Quiz Voir plus

Démasqué ! 🎭

"Le Masque de la mort rouge" est le titre d'une nouvelle écrite par ...

Oscar Wilde
William Irish
Edgar Poe

12 questions
17 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature française , critique littéraire , théâtre , littérature étrangère , carnaval , culture littéraireCréer un quiz sur cet auteur

{* *}