Mes rêves dévissent inéluctablement de cette manière à l’approche de leur dénouement. C’est une sorte de tradition, depuis la mort de mon père et plus encore depuis que Marion m’a quitté l’année suivante - par surprise, elle aussi. Un beau matin, elle m’a simplement annoncé : « si je reste, j’ai peur de sombrer avec toi. » Il fallait en avoir, de la crasse dans le coeur, pour dire une chose pareille.