“Reste que contrairement aux injonctions académiciennes le terme autrice est bien légitime, comme la réflexion féministe sur le rapport sexué au langage. Il nous faut nous réapproprier ces mots enfouis par la masculinisation politique de la langue française, redonner une « épaisseur historique » à certains mots, redonner vie à l’accord de proximité et inventer un langage plus adéquat à l’égalité…”