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Critique de PGilly
Elles et ils sont audacieux, originaux, indépendants. Ils et elles vivent sont à Paris, Chêne-Bourg, Escamps ou ailleurs. Ce sont des découvreuses et des découvreurs de talent, d'inédit, des amoureux du texte. En un mot, comme en cent, je vous présente les éditeurs, tous singuliers, tous animés d'un même esprit : le goût du risque. Ils ont tous appris le métier sur le tas, ont entre 30 et 40 ans de bouteille.
Le magazine culturel Novo, diffusé dans l'est de la France, les a rencontrés et a publiés huit entretiens entre juin 2021 et décembre 2022, précédé d'une présentation léchée de la maison. Nicolas Querci pose des questions simples – pas toujours les mêmes- sur le métier et sur la motivation de ces personnalités au caractère bien trempé. Les propos recueillis sont agréables à lire, dans le style « parler littéraire ».
J'ai appris énormément sur la gestation d'un livre, entre huit et vingt mois, parfois six ans pour la traduction difficile d'un roman fleuve. Chacun, chacune connaissent la tension permanente entre visées culturelles et raison économique. Ils m'ont tous donné envie de découvrir des auteur(e)s inconnus de mon bataillon. J'ai lu avec plaisir l'hommage aux libraires indépendants, maillons clés du succès d'un livre aimé et défendu avec feu.
Elles et ils sont modestes et passionnés, avancent au coup de coeur, marchent à l'amitié. Éditeur, un métier noble qui vaut bien huit mentions – Tristram, Zoé, Allia, L'Olivier, Zulma, Finitude, Corti et La Contre Allée auquel j'ajoute Mediapop, qui a réuni ces entretiens et que je ne connaissais pas. Merci au libraire d'avoir sélectionné ce petit livre très enrichissant.
Le magazine culturel Novo, diffusé dans l'est de la France, les a rencontrés et a publiés huit entretiens entre juin 2021 et décembre 2022, précédé d'une présentation léchée de la maison. Nicolas Querci pose des questions simples – pas toujours les mêmes- sur le métier et sur la motivation de ces personnalités au caractère bien trempé. Les propos recueillis sont agréables à lire, dans le style « parler littéraire ».
J'ai appris énormément sur la gestation d'un livre, entre huit et vingt mois, parfois six ans pour la traduction difficile d'un roman fleuve. Chacun, chacune connaissent la tension permanente entre visées culturelles et raison économique. Ils m'ont tous donné envie de découvrir des auteur(e)s inconnus de mon bataillon. J'ai lu avec plaisir l'hommage aux libraires indépendants, maillons clés du succès d'un livre aimé et défendu avec feu.
Elles et ils sont modestes et passionnés, avancent au coup de coeur, marchent à l'amitié. Éditeur, un métier noble qui vaut bien huit mentions – Tristram, Zoé, Allia, L'Olivier, Zulma, Finitude, Corti et La Contre Allée auquel j'ajoute Mediapop, qui a réuni ces entretiens et que je ne connaissais pas. Merci au libraire d'avoir sélectionné ce petit livre très enrichissant.
