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sur 3968 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un roman qui raconte la découverte de l'amour entre une femme et un homme dans le camp d'Auschwitz ? Pourquoi pas.
Je suis sûre que l'amour peut survenir n'importe où et ce thème est original. Cerise sur le gâteau, ce roman est né d'une histoire vraie racontée par un juif qui avait l'abominable mission de tatouer ses co-prisonnier.
Tout cela devait mener à beaucoup d'émotion, de descriptions, une illustration de la réalité du camp avec ses horreurs.
Mais l'émotion n'est pas venue. Lale, le personnage principal qui vit des horreurs, manque de profondeur et semble presque trop parfait.
Oui on voit des bébés tués, des enfants arrachés des bras de leur mère, la malnutrition, la crasse, les chambres à gaz, des cadavres et encore des cadavres mais la narration n'est pas à la hauteur et laisse le lecteur à distance.
J'ai eu le sentiment que les faits étaient aseptisés. J'aurais préféré être malmenée en étant confrontée à la réalité.
Le style est simple presque simpliste et parfois les dialogues carrément basiques.
J'ai aimé néanmoins la relation de Lale avec les enfants et les femmes tzigane.
Un roman qui se lit vite, qui a le mérite de nous faire découvrir ce tatoueur, qui illustre qu'une histoire d'amour a été possible dans cet enfer mais au final une déception en refermant la dernière page.


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Dans les camps de la mort tout fut dramatiquement surréaliste. Ici, l'invraisemblance, quelque fois, affleure avec trop d'évidence rendant la lecture moins percutante, cependant cette histoire qui s'inspire de personnages réels et de faits avérés, reste un beau roman d'amour . Il y en eut bien d'autres : marques, faits, attentions, petits gestes , relations empreintes d'amour, d'amitié, de fraternité, de solidarité, pour estomper l'enfer, l'horreur , l'inhumanité au quotidien, redonner quelques lueurs d'espoir, permettre de survivre à holocauste . C'est en cela que le tatoueur d'Auschwitz est intéressant à lire, il reste malgré ces quelques improbabilités un témoignage poignant.
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Ludwig Eisenberg, surnommé Lale, est un juif de Slovaquie déporté au camp d'Auschwitz-Birkenau en avril 1942.

Rapidement après son arrivée et son installation, il contractera le typhus.
Alors que, à l'agonie, il est jeté sur la charrette des morts et des moribonds que les SS destinent à la fosse, un ami rencontré dans le train lui sauve la vie en les suppliant de le laisser en descendre.
Guéri quelques jours plus tard grâce à la solidarité de ses codétenus, Pepan, le tatoueur du camp, ancien professeur d'économie, lui fait une proposition qui sera sans doute le tournant de sa vie : travailler avec lui comme tatoueur.
Pourquoi lui et pas un autre ? "J'ai vu un jeune homme à moitié mort de faim risquer sa vie pour te sauver. Je me suis dit que tu devais être quelqu'un de grande valeur pour qu'on prenne de tels risques pour toi."

A la disparition de Pepan, il deviendra à son tour le tatoueur officiel du camp. Une situation privilégiée au regard de celle de la majorité de ses congénères, qui lui permettra d'organiser un trafic de nourriture et au détour d'une arrivée de train, de tomber amoureux de Gita, qu'il tatouera à son tour.

Elle lui donnera sans doute la force de survivre et de tenir son serment : "je sortirai vivant de ce camp. Je partirai en homme libre. S'il y a un enfer, je verrai ces assassins brûler dans ses flammes".

A mon avis :
Le tatoueur d'Auschwitz est un livre différent sur la détention des juifs dans les camps de concentration. Ou plutôt non, c'est un livre différent sur une histoire d'amour qui se déroule dans un univers sordide.

Même s'il raconte la même Histoire (évidemment !), même si l'on retrouve l'organisation des camps telle qu'elle est décrite par d'autres avant lui (Cf. Ginette Kolinka et Primo Levi), il en ressort néanmoins une atmosphère beaucoup moins pesante qu'à l'ordinaire.

En effet, cette histoire d'amour entre deux prisonniers transporte notre personnage principal et donne des accents bucoliques au récit, ce qui jure quelque peu avec l'ambiance à laquelle on s'attend sur Auschwitz ou dans n'importe quel camp de concentration.

Cela donne au récit une espèce de légèreté qui interroge. de deux choses l'une ; soit la situation personnelle de Lale était finalement assez confortable (c'est à dire bien plus enviable que celle des autres, disons plutôt "privilégiée"), soit la retranscription de son histoire a été édulcorée pour ne se centrer que sur son histoire d'amour.

C'est sans doute la première hypothèse qui domine, puisque Lale lui-même s'interroge sur sa participation à l'organisation nazi (dont il se dédouane en évoquant la nécessité de survie et la fatalité d'un massacre auquel il n'aurait rien pu changer), même si sa relation avec Gita est au centre du récit.

J'allais dire qu'il s'agit d'une belle histoire... mais l'environnement historique dans laquelle elle se déroule m'en empêche. Disons plutôt qu'il s'agit d'une histoire d'amour dans un contexte écoeurant.

Ce mélange des genres n'est pas forcément au goût de tous. A titre personnel il m'a troublé et m'a sans doute empêché d'apprécier cette histoire à sa juste valeur.

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Je suis restée en marge de ce livre.
Je ne m'en explique pas les raisons. Cette histoire, dont je ne remets pas en cause l'authenticité, m'a semblé invraisemblable .

l'écriture est au service du récit et disparaît derrière lui. Efficace et sans attrait, presque malhabile..

Le héros, Lalle passe "presque" entre les tirs de mitraillettes de façon quasi miraculeuse. On finit par ne plus s'inquiéter pour lui..et avoir l'impression d'être face à un livret d'operette.

Quand je pense à la force de "la guerre d'Allan" d'Emmanuel Guibert dans un contexte tellement moins dramatique ...Il y a un monde entre ces deux retranscriptions de témoignages qui s'appelle l'émotion.

La magie n'a pas opéré pour moi..dommage.

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J'avoue que c'est un peu sceptique que je me suis lancée dans la lecture du Tatoueur d'Auschwitz. J'avais vraiment peur de la manière dont pouvait être exploitée cette histoire d'amour « au coeur de l'enfer », pour citer la quatrième de couverture. J'appréhendais le fait que l'on puisse me présenter des faits édulcorés, je craignais l'overdose de bons sentiments et une narration sirupeuse. Ce n'est pas exactement le cas même si j'avoue qu'il m'a été difficile de distinguer la réalité et la fiction. Comme on me promettait une histoire vraie, j'ai eu envie de faire confiance, même si je m'interroge quand même encore sur certains passages et leur véracité… Je préfère me dire que les faits romancés ont une vérité émotionnelle qui s'éloigne parfois de la vérité historique, mais après tout, je ne sais pas… Bref, je l'ai davantage lu comme un roman que comme un témoignage et j'ai trouvé l'angle d'attaque séduisant, le fait de s'intéresser au personnage du tatoueur m'a semblé suffisamment original pour être digne d'intérêt. Je l'ai suivi avec curiosité dans la découverte du camp et de son fonctionnement, mais j'aurais apprécié que certains points soient développés, sans forcément me focaliser sur ce défaut car la littérature concentrationnaire est abondante et j'ai déjà trouvé et je trouverai encore ailleurs ce que je n'ai pas trouvé ici. Quant à savoir si ce roman m'a émue, c'est très étrange. J'ai vraiment été très émue par les quelques pages qui viennent après le point final, et si je l'ai été pendant ma lecture, je me rends compte maintenant, plusieurs jours après l'avoir achevée, que j'ai surtout été émue parce que je connais L Histoire, parce que j'ai déjà lu beaucoup sur ce sujet mais que l'écriture (ou la traduction ?) n'a pas forcément été vectrice d'émotion. Il faut cependant reconnaître qu'il y a beaucoup de passages passionnants et que l'on tourne les pages à une vitesse folle, forcément happé par toute cette horreur qui nous laisse inévitablement sans voix.
Un grand merci à Babelio et aux Editions J'ai lu pour cette découverte !

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
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Avril 1942, Slovaquie, chaque famille juive doit remettre un enfant, âgé de dix-huit ans ou plus, aux autorités pour l'envoyer travailler pour le gouvernement allemand. C'est pourquoi Lale se retrouve au milieu des autres, entassé dans un wagon à bestiaux, sa destination, Auschwitz. Lale va devenir le tatoueur d'Auschwitz, chargé d'incruster un numéro dans la peau de tous les êtres humains qui franchissent l'immense portail du camp. Il va faire la connaissance de Gita, qui avec d'autres filles est chargé de trier les biens confisqués aux nouveaux arrivants, vêtements, objets, billets, bijoux.

« Quand elles sont arrivées au camp, elles n'étaient encore que des jeunes filles, et maintenant, bien qu'aucune n'ait encore atteint l'âge de vingt et un ans, ce sont des femmes brisées, abîmées. »

Ce récit est avant tout une histoire d'amour entre deux êtres ordinaires dans un lieu qui a été témoin des pires inhumanités de l'homme envers l'homme. Par rapport aux nombreux autres témoignages que j'ai lus sur les camps de concentration, l'intérêt principal de ce récit est que Lale arrive à Auschwitz au tout début de l'édification du camp d'extermination et nous allons donc assister à sa construction, les baraquements et surtout les fours crématoires. L'histoire de Lale et de Gita est avant tout l'histoire d'Auschwitz jusqu'à la libération par les Russes. L'auteur évoque la vie quotidienne du camp, les brimades, la débrouille pour se nourrir, l'arrivée des premiers enfants, les polonais qui participe à cette construction, le sinistre docteur Mengele, l'arrivée des Russes, l'évacuation du camp.

« Dans un champ situé entre Auschwitz et Birkenau, ils doivent transporter d'énormes pierres d'un lieu à un autre, puis les reprendre pour les rapporter à l'endroit initial. Voilà en quoi consiste leur travail, des allers et retours incessants tout au long de la journée. »

Une écriture simple et efficace où l'auteur se contente de retranscrire la parole de Lale qui a gardé le silence pendant 50 ans craignant qu'on l'accuse d'avoir collaboré avec les nazis. Conçu au départ pour être le scénario d'un film, la forme de ce roman m'a étonné, le style m'a semblé complètement débridé, sans vraiment de construction, mais dans l'épilogue l'auteur, journaliste, explique que c'est la demande express de Lale de ne pas alourdir son histoire, il ne souhaite pas qu'elle soit romancée, mais livrée telle quelle. Il a fallu trois ans d'entretien à l'auteur pour gagner la confiance de Lale qui se livre doucement par bribes et réussir à démêler tous les fils de cette incroyable histoire. La postface écrite par Gary le fils de Lale et de Gita est un magnifique témoignage d'amour.


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Le sujet de ce livre est difficile, mais nécessaire pour un devoir de mémoire et pour ne pas oublier les atrocités qui ont été commises durant la 2ème guerre mondiale.
Cependant, j'ai eu du mal avec le style de l'auteur. La narration est très factuelle et il est difficile de s'attacher aux personnages.
Lale, jeune homme d'une vingtaine d'années, va se retrouver prisonnier dans un camp de concentration et va devenir le tatoueur d'Auschwitz. Bien que sa position soit plus "enviable" que celle des autres prisonniers, il échappera de justesse à la mort à plusieurs reprises pendant ses 3 années de détention. Tout au long de son séjour dans l'enfer du camp, il fera son possible pour garder un certain optimisme et pour aider dans la mesure de ses moyens d'autres prisonniers. C'est durant ces 3 années qu'il trouvera l'amour de sa vie, Gita, à Birkenau. Elle aussi a une fonction "enviable", dans la mesure où elle est affectée à des tâches administratives.
Dans l'épilogue, il est mentionné que dans un premier temps, ce témoignage avait été écrit dans le but d'en faire un film. Ceci explique peut-être le style trop factuel à mon goût. Et malgré le fait que les propos soient issus d'une histoire vraie, j'ai eu du mal à croire à certaines scènes. Est-ce qu'il est possible que des SS se préoccupent de l'identification de 2 cadavres et fasse appel au tatoueur pour élucider le mystère de 2 matricules identiques ? Est-ce possible que Lale retrouve aussi facilement Gita dans les rues de Bratislava après qu'ils aient été séparés lors de l'ouverture du camp ?
Cette lecture a été faite dans le cadre d'une lecture commune et cela a été très intéressant de pouvoir échanger sur nos ressentis.
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L'histoire est vraie, c'est celle de Lale Eisenberg, devenu "le tatoueur d'Auschwitz" grâce à sa connaissance des langues étrangères et surtout à sa capacité hors du commun de savoir comment se comporter face aux SS du camp. En tatouant un groupe de femmes, Lale croise le regarde de Gita et c'est le début d'une merveilleuse histoire d'amour à laquelle ils devront l'un et l'autre d'avoir survécu. Une romance au coeur de l'enfer, voilà de quoi retrouver foi en l'humanité. Mais justement, cette romance peine à trouver sa place dans le récit, aux phrases si courtes et si simples qu'aucun souffle ne les enlève. Même la vraisemblance historique semble parfois mise à mal, tant les conditions de vie dans le camp sont parfois considérées avec un regard lointain.
Difficile de dire qu'on n'a pas tellement aimé un livre dont le titre contient le mot "Auschwitz". Et pourtant... je pense que ce qui m'a surtout empêchée d'apprécier cette lecture, c'est ce style archi plat et sans aucun relief ; des phrases très courtes, toujours au présent, très descriptives et peu à même d'emporter le lecteur, ou au moins la lectrice que je suis. J'ai trouvé l'épilogue et la postface (écrite par le fils de Lale et Gita) plus vivants, c'est dire. Ou peut-être est-ce moi qui ai trop lu sur l'univers concentrationnaire et peut-être est-il temps que je tourne la page.
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Il y a quelques semaines, j'ai acheté au format poche : le tatoueur d'Auschwitz de Heather Morris.
Sous un ciel de plomb, des prisonniers défilent du camp d'Auschwitz. Bientôt, ils ne seront plus que des numéros tatoués sur le bras.
C'est Lale, un déporté, qui est chargé de cette sinistre tâche. Il travaille le regard rivé au sol pour éviter de voir la douleur dans les yeux de ceux qu'il marque à jamais.
Un jour , pourtant, il lève les yeux sur Gita et la jeune femme devient sa lumière dans ce monde d'une noirceur infinie....
Le tatoueur d'Auschwitz est un roman relatant l'histoire vraie de Lale Sokolov, Juif chargé de tatouer les femmes arrivant à Auschwitz.
C'est ainsi qu'il rencontre Gita et en tombe amoureux. Ensemble, ils partagent des moments volés au coeur de l'horreur, sans jamais perdre l'espoir d'être réunis à leur sortie du camp.
C'est touchant, j'ai souvent frissonner avec eux mais...
Là encore, j'avais beaucoup entendu parler de ce roman et je pense que j'en attendait beaucoup... trop sûrement.
En effet, au début j'ai adoré ma lecture, j'ai lu le premier tiers assez rapidement.
Et puis, peu à peu, j'ai peiné. Je trouve qu'il y a quelques longueurs, et je me suis parfois un peu ennuyé car ça manque de dynamisme.
Pourtant j'ai adoré le début, réellement, et je pensais vraiment que ce roman me marquerait. Je me souviens avoir d'ailleurs dit à une chroniqueuse que j'adorais ma lecture. Mais ça, c'était au début et au final c'est une petite déception.
Je ne regrette pas ma lecture, il est important de continuer à lire des ouvrages se déroulant pendant la seconde guerre mondiale et notamment dans les camps, pour ne surtout pas oublier ce qui est arrivé et éviter que ça revienne un jour.
Mais je suis beaucoup moins enthousiaste que bon nombre d'entre vous.
L'histoire relatée est originale, ce n'est pas tous les jours qu'un homme qui se retrouve à tatouer des numéros tombe amoureux d'une de ses « clientes ». Surtout dans un environnement aussi hostile qu'un camp de concentration.
Cela va donner une jolie histoire, touchante, avec des personnages qui sont attachants.
Il m'a néanmoins manqué quelque chose pour que je sois totalement convaincue de la première à la dernière page. Je pense que c'est beaucoup plus romancé que je ne le pensais au départ, certains passages ne sont pas toujours crédibles. Voilà l'explication, en fait c'est tout simple ! Je pense que c'est trop édulcoré à mon goût surtout que j'ai l'habitude de lire des ouvrages avec des passages plus durs, plus crédibles, sur ce sujet.
Je comprend qu'il puisse plaire autant mais du coup ce n'est pas mon roman préféré se déroulant dans les camps de concentration, d'autres m'ont beaucoup plus touché que celui-ci.
Petite déception donc, d'où seulement trois étoiles.
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Pas totalement conquise par ce roman basé sur l'histoire vraie de Lale et Gita, jeunes slovaques déportés et emprisonnés à Auschwitz.
Au-delà du récit des atrocités – connues mais toujours redécouvertes avec effroi – commises par les soldats et le « docteur » Mengele, c'est plutôt ici l'incroyable pulsion de vie de Lale que je retiendrai. le jeune homme protège sa famille en acceptant d'être celui qui répondra à l'injonction des autorités allemandes : chaque famille juive doit livrer un de ses membres au risque que tous soient déportés.
Au terme d'un long voyage effectué dans un fourgon à bestiaux, Lale arrive en Pologne et se confronte à un univers violent, cruel, où la vie des détenus ne vaut rien mais où règne aussi une forme de solidarité, où certains font preuve de courage, héros d'un jour, mains tendues et quignon de pain moisi partagé.
Lale est repéré par Pepan alors que ses forces l'abandonnent. Pepan est le Tätowierer du camp, celui qui est chargé de marquer à vie les bras des déportés par une série de chiffres. Il prend le jeune homme sous son aile et lui enseigne les gestes professionnels qui vont lui permettre d'aménager un quotidien, si ce n'est confortable tout au moins supportable.
C'est en pratiquant le tatouage que Lale va croiser le regard de Gita : coup de foudre immédiat. Cette relation fragile va s'épanouir alors qu'autour des amoureux règnent la terreur, l'horreur des chambres à gaz, des tortures et autres crimes pratiqués sans état d'âme. Cela va leur donner la force, l'énergie et l'ingéniosité de surmonter et de survivre à la barbarie.
C'est un récit assez incroyable et l'auteur choisit de raconter cet épisode tragique de l'histoire contemporaine par le prisme d'une romance touchante.
Le style n'est pas vraiment à la hauteur du projet : des phrases courtes, au présent, des dialogues peu développés, une narration qui colle à l'essentiel. Bref, pas vraiment de souffle et cela m'a un peu empêchée d'être embarquée dans un récit qui aurait dû sans doute générer chez moi davantage d'émotion et d'empathie…

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