Cette année, je prévois de lire quelques auteurs anglais. Et cet essai de
Christine Jordis va m'y aider.
La littérature, cette force obscure qui nous tient éveiller jusqu'à faire des nuits blanches. N'y voyez aucune perversité. La littérature a ses fans, son réseau.
J'ai entamé ma découverte de la culture anglaise par
Virginia Woolf. Excusez du peu. Dans cet essai, l'auteure analyse la littérature anglaise du XXe siècle. Ses audaces, son humour, son souci esthétique. Elle fait référence à la communauté du Bloomsberry Group, dont les membres sont issus majoritairement de l'Université de Cambridge, groupe qui s'est maintenu jusqu'au début de la seconde guerre mondiale.
La littérature britannique s'est développée, s'est transformée avec la société. L'histoire violente de ce siècle a laissé des traces. Elle a dressé un tableau moral et social.
Elle s'est pénétrée de la science psychanalytique, a parfaitement assimilée l'esprit de son temps. Tout en conservant son humour parfois noir.
La littérature anglaise témoigne, s'engage. Elle est vertige.
Cet essai est une exploration des auteurs marquants de ce siècle jusque dans
les années 90.
En fin de volume, quelques incursions dans les pays du Commonwealth.