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EAN : 9782714302960
256 pages
José Corti (01/01/1967)
4.4/5   36 notes
Résumé :
Avec "Lettrines", si Julien Gracq inaugure un style d'écriture qui échappe à une définition classique, il ne paraît pas exagéré de penser qu'il renouvelle une forme d'expression originale — appréciée de certains romantiques allemands — que d'autres écrivains vont emprunter après lui.

Littérature en fragment, aphoristique, c' est « un ensemble très libre, une mosaïque de notes de lecture, de réflexions, de souvenirs », dira-t-il dans une interview.
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
En deux volumes somptueux distants de sept ans, mêlant critique et géographie, notes fugitives et micro-essais, le passage définitif de Julien Gracq à une écriture hybride et fragmentaire, profondément singulière, d'une richesse éclatant à chaque relecture.

Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2024/05/16/note-de-lecture-lettrines-1-2-julien-gracq/

Six ans après son « Préférences » de 1961, qui rassemblait des textes parus auparavant en journal ou en revue, « Lettrines » marquait une rupture de silence de la part de Julien Gracq, mais aussi le début d'une forme subtile d'adieu. « Lettrines » (1967) et « Lettrines 2 » (1974) encadrent ainsi « La presqu'île » (1970), qui restera la dernière incursion de l'auteur dans l'écriture de fiction, cantonnée ainsi aux quatre romans « Au château d'Argol » (1939), « Un beau ténébreux » (1945), « le Rivage des Syrtes » (1951) et « Un balcon en forêt » (1958), ainsi qu'à la pièce de théâtre « le Roi pêcheur » (1948).

Désormais, c'est un rapport original et bien personnel, à la littérature et au monde, qui ira s'affirmant, dépassant la forme critique « classique », au fond, de son « André Breton – Quelques aspects de l'écrivain » (1948) et des « Préférences » citées ci-dessus aussi bien que la robustesse pamphlétaire de son « La littérature à l'estomac » (1950), pour affirmer un parcours profondément singulier.

Mêlant, avec des coutures alternativement visibles ou invisibles, les notes attentives de lectures incidentes (voir ci-dessus celle à propos de la figure de Fouché dans l'ouvrage de 1900 écrit par Louis Madelin, par exemple), les retours critiques sur les grands écrivains si bien connus de sa part, français (prenant souvent ses distances avec ce qu'il perçoit comme un « trop d'adulation » envers Proust ou Flaubert, admirant Balzac et Hugo jusque dans leurs formidables excès, renvoyant Maupassant à sa modeste place, et se délectant De Stendhal) ou étrangers (avec de lumineuses interventions sur Edgar Poe, sur Kafka, sur Dostoïevski, sur Hemingway, sur Ernst Jünger, sur Karl Marx – en tant qu'écrivain -, parmi tant d'autres), les remarques géographiques et « naturelles » (on sait alors au moins depuis les poèmes en prose de « Liberté grande », en 1946, à quel point la nature, même confinée dans la discrétion, joue chez l'auteur un rôle central – et ce n'est pas la forêt de son dernier roman en date, neuf ans plus tôt, qui pourrait le démentir) puisées dans la mémoire ou dans l'action (anticipant ainsi de plus de vingt-cinq ans, déjà, sa propre notion de « Carnets du grand chemin »), les « Lettrines », 1 et 2, affirment notamment un lien essentiel, puissant, voire indestructible, qui habitait déjà alors, de plus en plus, l'oeuvre de Julien Gracq au fil des années : celui qui associe la littérature aux lieux, à travers les êtres qui s'y logent ou y transitent.

Emmanuel Ruben, dans son « Dans les ruines de la carte » de 2015, comme Pierre Jourde dans son fondateur « Géographies imaginaires » de 1991, attiraient notre attention sur ce rôle assigné au doux entrechoc des lettres et des lieux chez Julien Gracq, mais c'est peut-être bien Hélène Gaudy (au-delà de la « Description d'Olonne » de Jean-Christophe Bailly, qui doit tant en filigrane au créateur de la seigneurie d'Orsenna) d'une part, avec son « Une île, une forteresse » ou son « Grands lieux », par exemple, et Nicolas Rozier, avec son « L'île batailleuse », au titre en forme d'hommage révélateur, qui incarnent le mieux aujourd'hui cette fusion intime mais toujours subtilement critique entre un regard porté sur les arts et un élan humain vital se nourrissant d'une géographie chaque fois spécifique.

Il faut une fois de plus souligner la formidable qualité du travail développé par Bernhild Boie pour l'édition des oeuvres de Julien Gracq dans la collection La Pléiade de Gallimard : l'appareil de notices et de notes qui s'y trouve, pour chaque ouvrage, nous permet ici de plonger au plus près de ce virage (qui, entre les deux volumes des « Lettrines », sera devenu définitif) vers une écriture à la fois foncièrement hybride et résolument fragmentaire. « Ensemble très libre », « mosaïque de notes de lecture, de réflexions, de souvenirs », selon les mots même de l'auteur, les « Lettrines », si elles présentaient initialement l'apparence du carnet, du cahier sur lequel elles ont d'abord été inscrites, ont vu être gommés les repères temporels liés à leur écriture « au jour le jour » pour être édités sous leur forme finale, fruit d'une composition en réalité soigneusement réfléchie – qui sera encore facilitée par la suite, lorsque le cahier s'effacera devant un assemblage de feuillets mobiles. Plus que jamais, l'auteur s'y affirme sensible à la « circulation entre les textes », aux « tensions capables d'aimanter la lecture », aux appels d'air et de balle, directs ou indirects, qui parcourent le pas-tout-à-fait aléatoire de ce vrai-faux chaos. Si la recherche d'un rythme – même quelque peu paradoxal par moments – semble le point plus important dans le premier volume, le deuxième laisse s'y superposer une véritable organisation thématique, qui va aller s'affirmant.

On sera saisi également, comme nous y invite Bernhild Boie, dans cette prose ainsi sortie du secret préalable, par les véritables trouvailles stylistiques qu'elle contient : la manière de débuter chaque fragment par un véritable « coup d'archet » (en phase avec la notion même de lettrine du titre des deux recueils), l'utilisation de phrases sans verbe pour lancer le propos lui-même, l'usage (spectaculaire par son effet de souffle) des deux-points enchâssés, enchaînés ou égrenés (on retrouve ici l'une des figures souveraines du « À coups de points – La ponctuation comme expérience » de Peter Szendy), ou encore la rusée mise en place de tirets lorsqu'il s'agit de compléter ou de parachever une description et son effet d'accumulation. Sur un terrain proche de l'essai où l'on n'est certes pas habitué à un tel travail, Julien Gracq se penche minutieusement sur les mots (et leurs appuis) pour le dire. Ces « Lettrines » n'en deviennent évidemment que plus profondément envoûtantes pour l'intelligence et pour les sens.
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"Lettrines" est - avant tout - une chasse aux trésors. Et Gracq, une sorte de "Robinson Crusoë" ne s'adressant, au fond, qu'à un "lui-même lecteur" (c'est-à-dire humble chasseur-cueilleur de merveilles : merveilles qu'il semble trouver accidentellement et préférentiellement dans "les oeuvres du passé"). Gracq OSE donc se forger - toujours, et d'abord - sa propre opinion. Irréductible. Imperméable à toute influence avérée des plus insidieux moutonnismes, d'hier ou d'aujourd'hui. [*].

C'était en 1967. Après son premier essai critique publié en volume (en 1961) et intitulé "Préférences", l'écrivain a l'idée de rassembler certaines de ses notations produites "au fil des jours", "longues impressions" solidement argumentées (au diapason de son sens esthétique personnel). Avec visite affective d'un long passé littéraire (bien oublié, aujourd'hui, de la plupart d'entre nous...). Souvenirs émus de lectures... mais aussi souvenirs lumineux d'une enfance du début du [XXe] siècle... Poétique rare cachée en chaque ligne merveilleusement ciselée... Rythme mélodieux, étudié, de chaque phrase... Et rien de narcissique ici [**]... Pourquoi l'écrivain Julien Gracq fut-il épargné, lui, par cette véritable "maladie du siècle" ? Pourquoi, au fond, fut-il si "autre" ? Curieux, tout de même, au Royaume hexagonal de tous ces égos auto-centrés (à la pullulation redoutable)... Mais cela - fort heureusement - restera un mystère "gracquien" de plus.

Et discrètement, comme distraitement, notre monde intérieur s'ouvre enfin, s'élargit...

Là où, entre les lignes, s'entraperçoit une admiration amoureuse - et pudique - des plus belles oeuvres d'Edgar Poë, de Stéphane Mallarmé, d'André Breton, de Victor Hugo, de Paul Claudel, de "Stendhal", d'Honoré "de" Balzac, de Gérard Labrunie "de Nerval", d'Arthur Rimbaud, de René-Guy Cadou, de Jean-René Huguenin, d'Etienne Pivert de Senancour...


Lien : http://www.regardsfeeriques...
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Les émergences nouvelles , en boutons, historiées en leurs commencements , comme champs de novations --- scientifiques, poétiques, expérimentales, exploratoires --- ' linéamentaires ' , à anticiper temporellement.

Dont les trouvailles gracquiennes de la translation - paysagiste et situationnelle -- imageante : illustration, correspondance, " hiéroglyphie " comme poetique gracquienne de la matérialisation vécue , éprouvée d' une dimension de l ' Imaginaire.

L ' illustration : le paysage ou la situation du moment présent qui illustrent, incarnent , soudainement , une oeuvre d'art : littéraire, picturale, ou historique.

La correspondance : un paysage proche ou familier qui en un arrangement circonstanciel et circonstancié de détails ou de parties évoque et matériellement nous fait vivre ou nous transporte en un continent étranger ou en une réalité totalement exotique : Afrique, Océanie, Polynésie, Asie.


L ' hiéroglyphie : le jeu narratif analogique de la métaphore filée qui en regard d' une situation et d' un paysage référentiels litteraux décrits transportent le lecteur en une Autre dimension immanente et vécue , en parallèle.

Dimension narrative mytho - allégorique ou allegoro - symbolique.

Ex : le tableau de la Bretagne, ou le tableau des Landes.

En ce qui concerne la litterature : l ' idee d ' " opera romanesque " par l' entrée en resonance universelle produite par l ' interconnexion choisie et voulue d' éléments et dimensions consonnantes ou dissonantes , de lieux, d ' heures, de tonalités et de couleurs, d' eclairages , de moments --- pièces du montage mental fictionnel multiple projectif dont le roman est le matériau tramé.


Et beaucoup d' autre chose encore.....



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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
La zone du tragique dans les grands événements, souvent plus étroite qu’on ne pense – incroyablement resserrée. Ceci très bien vu, comme toujours, par Hugo, dans l’émeute des Misérables : à une portée de fusil des barricades où on se mitraille, des fêtards après le théâtre soupent joyeusement sur le boulevard. Dans les Trois récits sur Sébastopol de Tolstoï, on est un peu surpris d’apprendre qu’en mai 1855, à la période la plus chaude du siège, les musiques militaires répandaient chaque soir des flonflons de valse autour du kiosque municipal. Quand j’arrivai, le 24 mai 1940, sur l’Aa de Gravelines, derrière lequel circulaient par intervalles, à une vingtaine de mètres, les chars de Guderian, ce que je vis fut d’abord ceci : deux mitrailleurs au bord de l’eau, tapis au défilement derrière la diguette avec leur engin qui venait de tirer et sa bande encore enclenchée, puis, à dix mètres de là, grand ouvert en belle vue sur l’Aa, un estaminet où une petite vieille servait deux pernods à des soldats accoudés au comptoir.
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« La haute police ne s’est bien faite que du temps de Fouché. » Une explication au moins partielle se présente d’elle-même, quand Madelin examine dans sa thèse (superficiellement) le recrutement de cette police : il y avait sur le marché des centaines de prêtres défroqués : un matériel humain inappréciable. L’Oratoire, auquel Fouché avait appartenu, semble avoir donné l’essor à un essaim de « mouches » particulièrement fines : une sorte de bataillon sacré.
Très curieuse, l’euphémie bénigne et sacerdotale avec laquelle Fouché qualifie ses agents : les mouchards chargés de rapporter les propos sont appelés les « observateurs exacts » – les mouchards chargés de répandre les fausses nouvelles, « les régulateurs de l’opinion ».
Je ne sais quel prestige louche et durable – qui a enflammé l’imagination de Balzac – s’attache à cette police artisanale et romantique de l’Empire, qui tient du Père Ubu et du roman noir, et jaillit encore pour notre imagination tout empanachée de ses attributs : le bicorne rabattu sur les yeux, le gourdin à torsade, et le phylactère qui s’échappe des bouches scellées d’un doigt prudhomesque : « Mystère et discrétion. » Nous reconnaissons la police d’une lieue, ravis comme l’enfant qui perce le déguisement de Guignol et entre quand même dans le jeu.
Deux choses ont servi Fouché dans l’imagination populaire : la tête de l’emploi, si réussie qu’elle en devient emblématique : les lèvres minces de mauvais prêtre, la dégaine de faux témoin et les yeux de poisson bouilli – puis la vocation de l’art pour l’art qu’on lui prête malgré soi et qui l’élève jusqu’au type : Robinson, on sent que cet homme aurait filé Vendredi. Pour le reste, le travail de Madelin, presque une apologie pourtant, montre l’homme très inférieur à sa légende : chez lui, comme chez Talleyrand, le génie résidait surtout dans le faire-accroire de salon, doublé d’une connaissance très fine du pouvoir qu’acquiert sur les imaginations une difformité physique qu’on sait mettre subtilement en valeur. Talleyrand laissait entrer les femmes à son petit lever et exhibait sans pudeur son pied bot, n’ignorant pas que derrière le boiteux on ne pouvait manquer de voir le diable, et que d’une certaine manière il fournissait là sa preuve – le malaise que créait son insigne laideur avait appris à Fouché qu’on peut tirer du silence du vide autant d’accords que Paganini de son violon : sur ces médiocres gages, l’un et l’autre savaient qu’on leur prêterait à l’infini. (Napoléon ne l’ignorait pas quand il disait qu’il avait repris Fouché non pour tout savoir, mais pour qu’on crût qu’il savait tout.) Le piquant est que les deux hommes, qui se détestaient, se savaient subtilement liés et doublaient leur pouvoir d’exister côte à côte : le chef-d’œuvre de pur théâtre de ces escompteurs de fausse monnaie fut la soirée de 1809, où, rien qu’en se montrant bras-dessus bras-dessous dans les salons après des années de brouillerie, les deux compères firent accourir Napoléon à franc étrier du fond de l’Espagne : pendant vingt-quatre heures, tout Paris avait cru l’Empire par terre, puisque les signes s’accomplissaient – puisque le vieil argousin régicide voyait venir à lui l’écumeur de la forêt de Bondy.
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Aucune des gloires massives de la littérature française qui n'ait été depuis deux siècles de part en part entachée de politique : Voltaire, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, Hugo, Zola, France, Barrès. Même dans cette après-guerre, c'est le mouvement de la Résistance qui a porté d'abord Sartre et Camus. A noter d'ailleurs que les clivages infinis qui divisent les familles politiques françaises se ressoudent par miracle dès qu'il est question de littérature : ici c'est soudain toute la droite unie ou toute la gauche unie qui se serre autour de son porte-fanion : il va de soi que c'est seulement au prix d'infinis malentendus. La puissante simplification de la vie politique américaine s'opère ainsi quelquefois en France, mais c'est seulement quand il s'agit de porter un écrivain au Panthéon. Comme un ministre de la Troisième République, l'écrivain peut d'ailleurs changer de majorité; mais, contrairement au leader parlementaire, qui évoluait en général de la gauche au modérantisme, la règle non écrite semble être pour lui de mettre progressivement du vin dans son eau (Chateaubriand, Lamartine, Hugo, Zola, France, et même Gide). Malraux y a contrevenu à ses dépens, et même peut- être Mauriac dont les fluctuations de clientèle, sur un plan plus modeste, repro- duisent à distance celles de Chateaubriand : droite - gauche - puis droite à nouveau.
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Des tabous littéraires : chaque époque semble connaître de ces écrivains - parfois de second ordre - que pendant un temps personne n'ose attaquer ni même critiquer, au milieu de l'universelle malveillance parisienne, comme si les protégeait une armure d'archange - devant lesquels chacun se découvre d'abord, de confiance, comme au passage d'un enterrement.
Puis vient une première piqûre, et l'odeur du sang brusquement flotte dans la mer - les requins on ne sait comment prévenus accourent par nuées du fond de l'horizon, chacun n'ayant de cesse qu'il n'ait arraché son morceau : on dépèce.
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Fiche signalétique des personnages de mes romans :
Epoque : quaternaire récent.
Lieu de naissance : non précisé.
Date de naissance : inconnue.
Nationalité : frontalière.
Parents : éloignés.
Etat civil : célibataire.
Enfants à charge : néant.
Profession : sans.
Activités : en vacances.
Situation militaire : marginale.
Moyens d’existence : hypothétiques.
Domicile : n’habitent jamais chez eux.
Résidences secondaires : mer et forêt.
Voiture : modèle à propulsion secrète
Yacht : gondole, ou canonnière.
Sports pratiqués : rêve éveillé – noctambulisme.
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Vidéo de Julien Gracq
À travers les différents ouvrages que l'auteur a écrit pendant et après ses voyages à travers le monde, la poésie a pris une place importante. Mais pas que ! Sylvain Tesson est venu sur le plateau de la grande librairie avec les livres ont fait de lui l'écrivain qu'il est aujourd'hui, au-delàs de ses voyages. "Ce sont les livres que je consulte tout le temps. Je les lis, je les relis et je les annote" raconte-il à François Busnel. Parmi eux, "Entretiens" de Julien Gracq, un professeur de géographie, "Sur les falaises de marbres" d'Ernst Jünger ou encore, "La Ferme africaine" de Karen Blixen. 
Retrouvez l'intégralité de l'interview ci-dessous : https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/
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