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3,72

sur 4249 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'abandonne. Prix Goncourt ou pas, je n'en peux plus, je capitule.

Une histoire d'un homme incarcéré qui aurait pu être intéressante sans ces sempiternelles digressions sur sa vie passée qui m'ont semblé soporifiques à souhait.

Prix Goncourt ? Chef d'oeuvre, livre incontournable à lire, non mais, je rêve, j'ai l'impression qu'on prend les lecteurs pour des imbéciles. Ce roman trouve son lectorat, tant mieux pour lui. Karine Tuil avec Des choses humaines était en lice pour le Goncourt, d'accord, son roman est une belle réussite selon moi. Une histoire qui se tient, une écriture fine et psychologue. Mais ici, à quoi ça sert de nous parler d'un père pasteur marié à une femme affublée aux films porno, à nous parler mécanique, pneus et huile et j'en passe. Certes, la plume sait se montrer drôle, ironique, mais selon moi les passages sur le passé de Paul desservent totalement l'histoire de fond.

Je ne saurai jamais pourquoi Paul est incarcéré et finalement, je m'en balance quelque peu.
Quel ennui ce livre Goncourt 2019.
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C'est une lecture qui a été très pénible pour moi.
J'ai failli arrêter au bout de 70 pages... Mais les citations reproduites par les membres de Babelio m'ont incitée à m'accrocher et à aller jusqu'au bout.
J'ai choisi ce livre chez mon libraire, bien éduqué, qui ne me donne pas son avis si je ne le lui demande pas. Mais, demain, c'est certain, je lui en parlerai.
J'avais lu des avis élogieux dont je ne me rappelais pas le contenu. Mais le livre était là, parmi les nouveautés, le titre était inspirant et je suis totalement passée à côté du bandeau BIEN VISIBLE indiquant prix Goncourt 2019... sans quoi je l'aurais immédiatement remis soigneusement sur le rayonnage.
J'étais intéressée de découvrir la description de l'univers carcéral. Après ma lecture, je suis convaincue que l'écrivain n'y a jamais mis les pieds avant d'écrire son livre... ou vraiment très peu !
J'ai été très étonnée du vocabulaire du co-détenu du héros, Canadien de souche, qui n'a rien du parler canadien.
A côté de cela, l'auteur nous assomme de détails sur des tas de sujets très divers sur lesquels il se sera sans doute documenté. Mais ça fait beaucoup : des caractéristiques des Harley Davidson à la conduite d'un aéroplane, en passant par les réparations techniques dans un immeuble à appartements pour ce qui est des digressions techniques...
Pour moi, il y a au moins 100 pages de trop dans ce roman de 246 pages... t les 20 dernières sont haletantes... Mais cela arrive trop tard pour que je dépasse les 2 étoiles.
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Dans ce roman, nous suivons un prisonnier qui purge une peine de deux ans. Il s'agit d'un long monologue qui alterne entre le récit de sa vie qui conduit à la toute fin à l'acte qui l'a mené en prison et son quotidien avec son codétenu.

J'ai d'abord commencé ma lecture assez enthousiaste. L'auteur écrit bien, c'était bien mené.

Et puis finalement, je n'ai plus adhéré. J'ai trouvé la lecture poussive, le vocabulaire et certains passages étant vraiment vulgaires, et n'ai pas trouvé d'intérêt dans aucun des deux récits ni celui de la prison ni celui de la vie du pasteur et de sa femme dans le vent. J'ai trouvé le style mêlant des mots très soutenus au langage courant trop travaillé, les énumérations multiples m'ont lassée.

Mais surtout je n'ai pas vu de message à proprement parler, je n'ai pas trop compris l'objectif du livre.
Je l'ai juste trouvé déprimant.

Bref, de bonnes trouvailles au niveau du style qui, il faut le reconnaître, glisse tout seul mais je n'ai vraiment pas été conquise. Je n'aurais sans doute pas été aussi déçue s'il n'avait pas eu le Goncourt. Cela a certainement influencé mes attentes!
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À la vue de ma note, vous aurez compris que je n'ai pas aimé ce livre. Prix Goncourt, je m'attendais à passer un bon moment de lecture, ce ne fut pas le cas. Je suis sans doute passé complètement à côté de ce livre, j'ai trouvé l'histoire très ennuyeuse. Les périodes actuelles du personnage principal alternent avec des souvenirs de son enfance puis de sa vie d'adulte jusqu'à ce qu'on comprenne enfin ce qui lui est arrivé. Seule la toute dernière partie sauve un peu les meubles. le seul avantage est qu'il se lit assez vite.
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Abndonné une première fois, je me suis replongée dans ce roman suite à son élection au Goncourt et aux critiques dithyrambiques lues sur les forums de lecture.
Ma deuxième tentative se solde encore une fois par un échec et pourtant, j'ai bien essayé de résister car j'ai quand même lu jusqu'à 80% du livre environ cette fois.
Mais sur quels critères sont attribués les prix littéraires ?
Un chef-d'oeuvre que celui-ci paraît-il ? Je me suis ennuyée à mourir.
Je l'abandonne à nouveau donc sans scrupule.
La lecture doit être un plaisir et non une corvée et là vraiment, j'ai peiné à chaque page pour essayer d'avancer.
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Très bien écrit, je l'ai une première fois abandonné puis repris du début et terminé. il s'agit d'un monologue sur la vie du personnage principal. le fait qu 'il soit en prison avec un co.detenu est le prétexte à se raconter. comment un citoyen lambda sans casier judiciaire intégré travaillant peut tout à coup basculer a cause d'une simple phrase. Bref pour moi rien de transcendant. je ne m'explique pas ce succès et ce prix.
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Dans ma dernière critique nous avions un auteur dénué de talent qui tente poussivement de raconter une histoire qui pourrait susciter quelque intérêt (Le bal des folles), ici nous avons un écrivain talentueux qui sait écrire mais qui n'a rien à dire et qui nous bricole une histoire en brodant. Il réussit à nous faire une espèce de récit en patchwork qui peut vous accompagner à la façon d'une mauvaise série et vous distraire le temps d'une soirée ou deux mais qui n'a honnêtement aucun intérêt.
Perte de temps.
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Quelle lecture laborieuse, je suis restée complètement hermétique à l'histoire. A tel point qu'à plusieurs reprises, j'ai hésité à interrompre ma lecture en cours. Mais j'abandonne très rarement, je suis toujours animée par l'espoir d'un rebondissement, d'un rebond.
Hélas, ce ne fut pas le cas.
Un homme incarcéré qui revient sur son passé, l'idée de départ m'avait plu. Une alternance entre sa vie d'avant et son quotidien, en prison, avec son compagnon de cellule.
Si l'auteur a tenté de décrire les aspects psychologiques des personnages, ces derniers m'ont semblé parfois caricaturaux.
en résumé, je n'y ai trouvé aucun intérêt. Ce fut un moment pénible et interminable pour ma part.
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Je ne comprends pas qu'on ait attribué le prix Goncourt à ce livre plutôt banal.

Jean-Paul Dubois, par ailleurs, fait preuve d'une grande insensibilité envers les Québécois en faisant parler un Hells Angel à la française avec des : mec, putain, mon pote, les US, Ruskofs, son taf, etc., ce qui est tout à fait ridicule. Dubois se moque aussi des aspirations du peuple québécois à s'affranchir du Canada et semble attiré par tout ce qui est anglais (personnages, mots, expressions). Ça donne l'impression aux lecteurs québécois, que la France abandonne le Québec, une fois de plus.

p.111 - Au sujet de la question référendaire : Même la maison DuLaurier aurait refusé de construire quoi que ce soit à partir d'un plan aussi maladroit quand, de surcroît, l'architecte de cet empilement, au comble de son impéritie, fait, en un seul texte et à trois reprises, usage de point-virgule, ponctuation de l'embarras et du doute, révélation d'un esprit timoré hésitant entre la tentation d'en terminer une bonne fois pour toutes ou de continuer la phrase pour voir jusqu'où elle nous mène.

C'est le livre qui m'aura fait détester Dubois et le lâcher.

Note à l'auteur : Il n'y a pas de fromage dans la préparation du pâté chinois qui se fait avec du maïs en crème et non pas du maïs.

Coleslaw se dit : salade de chou.
Les singles : les célibataires
tout le monde était dévasté : anéanti
porte de voiture : portière
condo : copropriété
Cubic inch ?
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Pour un prix Goncourt, je m'attendais à un style d'écriture bien plus recherché. Loin d'être mal écrit, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon est pourtant simple et, malheureusement, très froid par rapport à ce qu'il raconte. Aucune empathie pour les personnages ne m'a permis de m'accrocher à ce texte qui a totalement coulé sur moi. Hormis son histoire personnelle, Paul nous narre son quotidien en prison en compagnie de Horton, un Hells angel en colère. C'est là que le récit devient bien plus intéressant, s'interrogeant sur la vie carcérale, son niveau de vie, la fatalité de l'existence, la rage, la foi, etc…

Pourtant, même avec des thèmes en principe intéressants, je suis restée imperméable face à cette histoire, comme si je n'en voyais pas vraiment l'intérêt. Acheté sous format papier, ce livre aurait sûrement fini en abandon de ma part. La lecture de Jacques Gamblin m'aura donc poussé à aller jusqu'au bout de ce court roman qui, malheureusement, ne m'aura pas parlée.
Lien : https://entournantlespages.w..
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