AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,03

sur 51 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je commencerai par remercier les éditions Open Strange Doors et Babelio pour cette lecture permise grâce à une opération Masse Critique privilégiée.
Alors merci.
Dans un second temps je veux saluer le travail fourni par l'auteur parce que je me permets de donner mon avis en quelques minutes sur un travail qui a pris des années.
Donc j'ai lu "La grande année des goètes" et je l'ai lu jusqu'au bout. Pourquoi préciser cela? Parce que j'a failli abandonner de nombreuses fois en cours de lecture. Mais j'ai considéré que le travail fourni méritait bien que je finisse cette lecture imposante.
Et j'ai bien fait de persévérer car les derniers chapitres sont très certainement ceux qui m'ont le plu enthousiasmé.
Mais voilà, pour lire ces 100 dernières pages, il m'a fallu m'accrocher pendant les 600 précédentes.
Alors non, ce n'était pas une torture non plus évidemment mais l'abus intensif (abusif??) du pronom personnel "il" m'a dérouté à plusieurs reprises au point de devoir remonter plusieurs lignes en amont une fois que j'avais compris qui disait quoi.
Et cela est perturbant pour l'immersion, bien plus que le vocabulaire soutenu utilisé par l'auteur. Cela a mis en place un rythme de lecture saccadé et dérangeant. Et c'est dommage parce que la thématique du roman est un réel atout. Un nécromant et ses acolytes, qui s'oppose à l'Eglise, je ne lis pas cela tous les jours. D'autant qu'on est très loin de la caricature d'un sorcier qui ferait apparaître une armée de zombies en claquant des doigts.
Donc pour résumer et conclure, je regrette ce qui, pour moi, s'apparente à un manque de travail d'édition sur l'ouvrage. Je pense que cela aurait certainement allégé l'ensemble et permis de mieux utiliser le fameux pronom personnel "il", surtout quand 95% des protagonistes sont masculins.
Malgré ce regret, je suis assez content d'avoir lu jusqu'au bout ce pavé de vraie Dark Fantasy, même si, à mon sens, l'épilogue aurait pu rester dans les tiroirs de l'auteur.
Une mention particulière pour un démon qui a sans doute été le personnage auquel je me suis le plus attaché.
Commenter  J’apprécie          135
Tout d'abord, un tout grand merci à Babelio pour la réception du bouquin !

Il faut que je me confesse … J'ai moyennement accroché à cette quête…
Le mélange de médiéval fantasy, magie et récit initiatique était un combo pour moi étant plus jeune, j'en dévorais dès que l'occasion se présentait.

Malheureusement, le combo a fait mouche à moitié. Je m'explique.

Pour un premier roman, l'écriture est très fluide et l'idée assez sympa mais j'ai eu du mal à suivre. Entre la ligne directrice actuelle et les morceaux d'histoires se passant des années auparavant sans vraiment avoir de fil conducteur, j'avoue, je me suis perdue … Ma concentration a donc été décuplé et ma compréhension affectée …

Les points positifs, les personnages sont assez bien fouillés avec une personnalité propre, les décors sont parfaitement imagés et un personnage préféré qui m'a touché en plein coeur ! Mais d'autres personnages ont eu raison de ma patience !

Je suis désolée, ma chronique n'est pas très fouillée parce que je ne suis pas sûre moi-même de mon ressenti paradoxal face à ce roman.

Si vous aimez les nécromanciens, les démons, le médiéval, la religion et la magie, ce livre est fait pour vous, mais n'hésitez pas à vous accrocher afin de bien comprendre l'entièreté !
Commenter  J’apprécie          100
« La grande année des goètes » de Searth Cabal est un voyage complexe dans l'Europe du XVIe siècle, où la magie et les mystères abondent. Ce roman m'a été envoyé par Babelio dans le cadre d'une masse critique privilégiée, et dès que j'ai vu l'objet imposant qu'était ce roman, j'ai su que c'était une lecture à réserver pour la maison.

Dans ce récit, nous suivons Angus Grey, l'héritier désigné d'une lignée de sorciers anglais, un personnage cruel, égoïste et de composition fragile, et Bartley Blyth, prieur à l'abbaye de Westminster, qui porte les stigmates d'une malédiction passée. Leurs chemins se croisent et s'entremêlent alors que leurs destins se lient au fil des pages, accompagnés de Karb, le familier, personnage des plus intéressants.
L'auteur situe son récit dans un contexte historique où la magie et l'ésotérisme se mêlent à la réalité du XVIe siècle européen. Cet arrière-plan culturel et historique enrichit l'intrigue en lui donnant une profondeur supplémentaire, bien que parfois difficile à saisir sans quelques connaissances préalables en ésotérisme.

Dès le début, j'avais des attentes élevées pour ce livre en raison de son univers ésotérique et de ses personnages intrigants. Cependant, dès les premières pages, j'ai été confrontée à une densité narrative qui rendait la lecture laborieuse. Les transitions de point de vue étaient floues, et j'ai souvent perdu le fil de l'histoire.

Le style d'écriture de l'auteur est dense et complexe, avec des dialogues parfois confus. Bien que les parties suivantes du roman offrent plus de rythme et de rebondissements, les problèmes de clarté persistent, ce qui a rendu difficile ma compréhension de l'intrigue.

Malgré les nombreux personnages et les dialogues parfois embrouillés, j'ai apprécié l'exploration ésotérique de la magie dans ce roman. L'évolution du familier Karb a été particulièrement captivante, apportant une touche de clarté et de sympathie dans un récit parfois trop complexe.

Ce qui distingue ce livre, c'est son ambition de présenter un monde riche en magie et en mystère, mais malheureusement, cette ambition est parfois entachée par une exécution confuse. J'aurais aimé moins de complexité et plus de clarté dans la narration pour pleinement apprécier l'univers créé par l'auteur.

En fin de compte, bien que « La grande année des goètes » possède des idées intéressantes et un travail de recherche approfondi, sa lecture m'a laissé un sentiment mitigé plus sur la forme que sur le fond. Malgré ses aspects positifs, je lui attribue une note de 2.5/5 en raison de sa complexité excessive et de sa narration parfois difficile à suivre.
Commenter  J’apprécie          90
Tout d'abord un grand merci à Babelio et à l 'éditeur pour la réception de cet ouvrage dans le cadre d' "Une masse critique".
Le livre est magnifique avec une couverture qui sent bon la bonne fantasy bien léchée et originale.
A l'intérieur du livre une carte de l 'éditeur qui vous remercie de participer au lancement.
En bref c'est la classe.

Attention c'est lourd au sens propre comme au sens figuré.
Au sens propre car le livre pourra facilement vu son poids faire office d' haltère si vous souhaitez avoir les bras de Dwayne Johnson.
Évitez de vous endormir en pleine lecture, la chute du livre sur votre nez entraînerait des lésions nasales irrémédiables.

Pour le contenu c'est malheureusement très lourdingue aussi et je vous avoue que si cet ouvrage ne m'avait pas été offert je n'aurais pas continué.
Mais bon quand on te fait un aussi beau cadeau tu joue le jeu jusqu'au bout.

En premier lieu je dois vous avouer que je ne suis pas fan de fantasy. Ça m 'attire sur les couvertures mais ce sont souvent des univers trop fouillis et complexes pour moi.
Et puis les sagas en 217 tomes je n*ai pas le courage.

Néanmoins l' année des goetes avait le potentiel de me séduire de par son côté historique et avec son intrigue "papale".
Ça n'a pas fonctionné d 'entrée et je n ai pas accroché du tout à la première partie du manoir.
L' écriture est tarabiscotee et on ne sait jamais qui est concerné à chaque début de paragraphe.

C'est très long et je n ai pas du tout accroché, quels que soit les personnages concernés.

Ça frétille un peu plus en deuxième partie du livre quand on sort enfin de ce manoir soporifique.

Le démon Karb est le seul personnage qui évolue et qui emmène du fun au récit.

Les parties sur Rome et Paris sont plus lisibles même si les nombreux retours en arrière cassent la dynamique du récit.

Une belle idée au départ mais je pense que l 'auteur aurait gagné à simplifier son histoire et son récit.

La grande année des goetes seduira certainement des amateurs initiés au genre fantasy.

Pour moi la magie n' à pas opéré.
Commenter  J’apprécie          61
La Grande année des goètes est une brique de plus de 700 pages de fantasy historique qui a tout pour intriguer car l'auteur et la maison d'édition m'étaient inconnus. Ce premier roman ambitieux nous plonge dans l'Europe de la fin du XVIe siècle alors que la religion a banni la magie et qu'un nouveau pape doit être désigné à Rome. Angus Grey, héritier d'une famille de sorciers anglais, a choisi de rejoindre une cabale qui manigance dans l'ombre pour faire revenir sur le devant de la scène les goètes. Pour cela, il invoque un démon puissant mais tout ne se passe pas comme prévu. Avec son nouveau familier, Karb, il va voyager jusqu'en Italie, en passant par la France.

Ce qui frappe tout de suite c'est le langage soutenu avec un vocabulaire très riche et l'utilisation de mots peu courants voire rares. Cet aspect m'a bien plu car c'est agréable de lire un texte dans lequel l'auteur s'est investi et a fort travaillé pour proposer quelque chose qui change. En revanche, ça occasionnait parfois quelques lourdeurs à la lecture et l'ensemble manque donc de fluidité. J'ai également trouvé dommage que les phrases en latin, allemand, italien ou espagnol ne soient pas traduites pour assurer une meilleure compréhension (sans avoir à chercher la traduction sur un internet)

Je n'ai malheureusement pas du tout accroché à Angus Grey. Je comprends la volonté de faire du personnage principal d'un roman un anti-héros mais il est si antipathique, colérique, égoïste et menteur que je n'ai éprouvé aucun attachement pour lui ni aucun intérêt pour son parcours. Je n'ai pas compris ni adhéré à sa méchanceté gratuite (principalement envers le pauvre Karb) et je n'étais pas touchée par les moments où il est en difficulté. Si l'auteur voulait qu'on déteste son protagoniste, c'est réussi. le petit démon Karb est en tout cas le personnage que j'ai préféré, il est certes souvent agaçant mais est néanmoins touchant dans sa naïveté. On le voit découvrir le monde et comprendre peu à peu les enjeux dans lesquels il est impliqué malgré lui.

Au fur et à mesure des chapitres, de nouveaux personnages sont introduits et se greffent au périple d'Angus. Je les ai tous trouvé plus intéressants qu'Angus même si certains auraient pu être plus développés (Valère et Simon qui restent finalement mystérieux alors qu'ils avaient un bon potentiel). Les points de vue des différents personnages se succèdent au sein d'un même chapitre mais je passais mon temps à m'y perdre ou à essayer de deviner de qui il était question car les premières lignes des paragraphes ne sont faites que de « il » et ne mentionnent jamais quel personnage on suit. de la même façon, les dialogues n'étaient pas toujours clairs et je me demandais souvent quel personnage parlait.

J'ai trouvé que certains aspects de l'intrigue étaient sous-exploités. Les pouvoirs et capacités magiques des personnages et surtout du protagoniste Angus étaient très peu mis en avant voire pas expliqués. Je ne sais pas si c'est parce que j'étais perdue dans ma lecture mais j'ai mis beaucoup de temps à comprendre que c'était le statut de nécromant d'Angus qui induisaient certaines particularités chez lui. de la même manière, la « table du destin », le livre qui accompagne Karb, est sans cesse évoqué comme étant une source de puissance énorme mais j'ai eu du mal à bien saisir l'étendue de ses pouvoirs. En revanche, l'auteur détaille énormément tous les aspects historiques, religieux et sociaux de cette époque, parfois de façon indigeste et souvent trop scolairement mais, au moins, le contexte est posé.

La Grande année des goètes fut une lecture extrêmement dense, parfois fastidieuse, que j'ai mis du temps à lire du fait de la complexité de ses références et de son intrigue. Il y a de très bons éléments dans cette histoire mais les longueurs (dont un début particulièrement long au démarrage), le manque de clarté et le protagoniste détestable m'ont empêché de profiter pleinement de cette expérience. Je salue tout de même le travail titanesque de l'auteur au niveau des recherches historiques ainsi que sa plume qui se démarque.
Lien : https://adoptlibrarian.blogs..
Commenter  J’apprécie          60
Livre offert par les Éditions Open Strange Doors que je remercie ainsi que Babelio pour cette masse critique privilégiée.

N'étant pas un grand lecteur de ce genre de littérature, voilà mon ressenti.
Points négatifs : parfois un peu confus dans les épisodes d'actions, quelques fois difficile à suivre lors de changement de personnage, pas assez sombre en ce qui me concerne, un peu long.
Points positifs : 700 pages, pour qui aime le genre, c'est un beau bébé. Un vocabulaire parfois rarement usité mais qui peut avoir son charme dans le contexte présent, des personnages variés et de l'action à revendre avec moult rebondissements.
J'ai donc passé un moment de lecture agréable mais sans plus , parfois un peu longuet et trop gentillet pour moi.

Pourra convenir aux adeptes de sorcellerie, de religion, de roman d'aventures endiablées.
Commenter  J’apprécie          60
Merci à Masse Critique, qui comme toujours permet d'étendre ses horizons de lecteurs et qui m'a permis de découvrir ce pavé de littérature fantasy, à base de complots, d'invocations démoniaques, de cabales sorcières cherchant à faire tomber l'Église de Rome, de meurtres, de discussions avec des fantômes et autres classiques du genre....
Tout part d'une uchronie magique, dans une Europe où les différents modèles de sorciers ont dû se cacher, et où la réforme religieuse anglaise d'Henry VIII, enfin sa façon de pouvoir changer de femme comme bon lui semblait de préférence en la faisant assassiner, n'a pas fait souche pour cause de règne plus long de Marie Ière
C'est distrayant, les amateurs s'amuseront, mais j'ai trouvé aussi que la copie aurait dû être retravaillée. C'est un peu dommage que les éditeurs de la maison qui publie ceci n'aient pas pris l'auteur entre quatre yeux pour que ou l'histoire soit allégée, ou il en fasse deux tomes en rendant tout ce micmac plus clair, au lieu que ça parte ainsi dans tous les sens. le style aurait mérité aussi d'être moins pompeux, car cela en vient presque parfois à gêner la fluidité de la lecture.
Honnêtement je ne suis pas convaincue, mais il y a sûrement des lecteurs qui pourraient y trouver leur bonheur.
Commenter  J’apprécie          50
Masse critique

Premier opus prometteur pour cette nouvelle maison d'édition et son auteur. Je dois avouer qu'en tant qu'amateur de dark fantasy, fasciné par la mythologie chrétienne et l'imaginaire qui entoure ses reliques, ses institutions, ses origines, je constitue une cible de choix :)

Premier point positif : de base le héros, Angus, est une ordure. Ça plante le descorps direct. Bien que le thème général : démonologie et magie noire dans une Europe bouleversée par la Renaissance et le schisme de l'Église, et l'intrigue : un complot ésotérique, soient très différents de ce que j'ai déjà pu lire, j'ai eu, dès le départ, un sentiment semblable à celui ressenti à la lecture de la Compagnie Noire de Glen Cook. le personnage principal n'est certes pas dénué de coeur, mais on est tout de même assez loin d'Harry Potter ;)

Second point positif : le background historique est original et cohérent. On est à une époque trouble, les jeux de pouvoir ne sont pas qu'un rapport de force militaire comme on peut le voir dans la High fantasy. Les questions de politique, de religion, sont ici sous-jacentes, auxquelles l'auteur instille la dimension superstitieuse de l'époque, démons, loups garou, sorciers... en lui donnant corps. On est dans le sombre merveilleux, sans aucun doute, mais l'époque ici est choisie, car c'est bien au début de l'époque moderne que la pensée critique met les sciences occultes au rancart. Souvenons nous que Newton lui-même a consacré une énergie et un temps fou à l'alchimie !

Concernant les points critiques, je rejoins Pencrannais sur l'impression que certains enchaînements narratifs sont parfois un peu confus. J'ai peut-être manqué de concentration dans ma lecture, mais je pense que pour ce genre de livre et sa cible éditoriale, le fil de l'histoire ne doit pas se rompre sans fermer les yeux.
Certaines images peuvent être déroutantes au début de la lecture, mais cela est sans abus, et j'ai appris à les apprécier, pour les considérer bientôt comme les signes d'une plume originale et audacieuse :)

Sans révolutionner le genre, la Grande année des Goètes apporte un peu de fraicheur à la fantasy (française?), qui trouvera son public pour peu qu'on lui donne sa chance. Ce livre en tout cas me parait bien meilleur que certaines commandes éditoriales passées auprès d'auteurs bien installés, bons certes, mais surbookés, je pense notamment à La Malédiction d'Old Haven de Fabrice Colin, ou le chant des épines d'Adrien Tomas, qui prennent à mes yeux dans le paysage de la fantasy française, la place de livres à meilleur potentiel.

Merci aux éditions Open Strange Doors et à Babelio pour la fourniture de ce livre !
Commenter  J’apprécie          51
Avant toute chose, un grand merci à Babelio et à Open Strange Doors (maison d'édition que je découvre) pour ce mass critique qui m'a permis de découvrir une nouvelle plume.
Deux choses m'avaient incité à postuler pour cette lecture, le sujet bien évidemment (voir le quatrième de couverture qui en dévoile juste assez pour susciter l'envie de lire ce pavé de 736 pages) qui m'avait irrésistiblement fait penser à la trilogie Wielstadt de Pierre Pevel (lu et re-relu !), et la très jolie couverture, mystérieuse à souhait, de Nathan Hansen.
Au fil de ma lecture cependant, je n'ai plus songé à l'univers de Pierre Pevel, je me suis souvenue, brièvement, de Jonathan Strange et Mr Norell de Susanna Clark (en raison de la lenteur du récit), mais La grande année des Goètes se révèle d'une noirceur plutôt pesante. C'est un long périple qui emmène le lecteur, de l'Angleterre à Rome en passant par la France, où l'on croise quelques créatures féériques, en tout cas issues du folklore local, mais dont les fils ne sont pas aisés à dénouer. Je pense que l'intrigue est en cause, assez compliquée avec des sauts dans le temps, et pour ma part, le fait que les protagonistes principaux ne m'aient guère été sympathiques, n'a pas joué en faveur du roman.
Cependant, je ferai une exception pour le démon familier Karb, qui est sans doute le personnage le plus intéressant du récit, le plus touchant aussi. En cela, c'est une belle trouvaille. Un plaisir aussi la richesse du vocabulaire, ce n'est plus si courant aujourd'hui et c'est donc bien appréciable.

Si je suis restée un peu au bord du chemin, ce n'est pas la faute de l'auteur, mais bien la mienne, qui pensait retrouver un peu du parfum de Pierre Pevel dans cette épopée.

Allez, je termine par un petit clin d'oeil, l'un des trois personnages principaux est surnommé M le maudit ! Rien à voir bien sûr avec le triste sire du film de Fritz Lang !
Commenter  J’apprécie          40
Alors déjà merci à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique.

Pour être dans les temps je préfère vous donner un avis alors que je n'ai pas encore terminée ma lecture vous allez comprendre peut être pourquoi.

Déjà il s'agit d'un pavé de plus de 730 pages.
Ensuite c'est une lecture exigeante, autant dans l'histoire développée avec des termes qui parleront au initiés des romans parlant de démons et de magie. Mais aussi exigeante car écrite en langue soutenue. C'est extrêmement bien écrit, mais j'avoue qu'il faut vraiment être concentré pour suivre cette histoire.

Les personnages sont complexes mais attachants. Ont les suit dans leur quêtes.J'aurai même du à réellement le résumé.

En parallèle nous suivons l'histoire politique du moment, juste après les chasses aux sorcieres et leur insurrection.

Je pense le terminer, mais ma lecture sera entrecoupée par d'autres romans plus legers.

Bref une histoire complexe, exigeante qui mensonge envie de la continuer mais en prenant mon temps.
Commenter  J’apprécie          41


Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (73) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2536 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}