AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Grands écrivains [corriger]


Livres populaires voir plus


Dernières critiques
Sherlock Holmes : Le Chien des Baskerville

En regardant dans une boîte à livres, j´ai trouvé une très belle édition de 1969 du roman de Conan Doyle: le Chien des Baskerville. J´ai eu immédiatement envie de le lire tellement le livre est magnifique. Adolescente, j´avais lu quelques romans de Sherlock Holmes, mais pas cette histoire. Je n´ai pas été déçue de ma lecture.



Notre détective se voit confier la mission d´enquêter sur la mort mystérieuse du Lord Baskerville. Il demande à son ami Watson d´aller dans le comté de la propriété et de veiller sur l´héritier des Baskerville, car il doit s´occuper d´une autre affaire. Mais une bien étrange légende entoure la mort du Lord et le château. Watson mène son enquête dans les landes mystérieuses du Devonshire.. J´ai beaucoup aimé les descriptions des paysages et des habitants. Très agréable lecture d´un grand classique de la littérature anglaise. Et je ne m'attendais pas à la fin du dénouement....
Commenter  J’apprécie          40
Typhon

Ayant retrouvé mon ancienne édition de Typhon, parue en 1985 dans la collection Grands Ecrivains choisis par l'Académie Goncourt, je me plonge dans le roman de Joseph Conrad.

Je ne suis jamais allé au bout de ce court récit maritime. Trop de termes techniques ? De descriptions ? Edité dans la Bibliothèque verte, il est souvent catalogué comme roman jeunesse. Ce qu'il n'est pas ! Il est de peu d'intérêt pour les jeunes lecteurs : pas d'aventure, pas de trame narrative claire, pas de héros auquel on pourrait s'identifier, un huis-clos dans un bateau.

C'est un texte dur, dense, âpre, dans lequel on peut ne pas du tout entrer.

J'apprécie particulièrement deux aspects : d'abord l'écriture, laquelle nous plonge dans le chaos régnant à bord du vapeur Nan-Shan qui, faisant route vers le port de Fou-Tchéou, en pleine Mer de Chine, est la proie d'un terrible typhon.

Ensuite, le héros, ce capitaine MacWhirr, dont on dit qu'il est ordinaire, sans imagination, stupide.

C'est pourtant lui, par son sang-froid, qui sauve son navire avec l'équipage et les passagers, deux cents coolies chinois rentrant chez eux avec leur paye.

Typhon est construit comme une tragédie. Le destin de ces hommes est tout tracé, ils vont mourir et tous le savent. Le météore est le symbole de la mort à laquelle ils ne peuvent échapper.

Les marins luttent, avec force, dignité, contre les éléments, certains laissent apparaître des failles, des lâchetés.

Le capitaine MacWhirr n'est pas de ceux-là : il connaît son devoir et il l'accomplira jusqu'au bout, sans réfléchir à son issue. Il fait penser, prosaïquement, à ces légionnaires qui accompliront leur mission coûte que coûte, ou aux héros grecs lorsqu'ils oublient leur hybris.

Le capitaine MacWhirr pourrait tout aussi bien être un meurtrier implacable, il est le sauveur. Son navire doit revenir au port et le désordre humain, trop humain, qui perturbe l'équilibre de ce microcosme, doit cesser : on donnera aux hommes ce qui les calme, l'argent, les pièces de dollars d'argent qui leur reviennent.

MacWhirr a résisté à l'enfer de la tempête qui assaille le bateau et à l'enfer humain qui gangrène ses cales où sont entassés les coolies.

Que penser de lui ?

Il n'est pas de l'argile dont on fait les hommes, il est d'une autre nature qui nous dépasse sûrement, et ses hommes, comme nous, pourront dire, une fois arrivés au port, qu' « il s'en est très bien sorti pour un homme aussi stupide ».

On sait qu'ils ont tort mais il manque les mots pour dire le vrai.
Commenter  J’apprécie          20
Contes de Grimm

Les contes des frères Grimm est un livre regroupant plusieurs contes, en voici un, l'oiseau d'or.

Un roi avait dans son jardin derrière son château un arbre avec des pommes couleurs or. Un jour il s’aperçut qu'il manquer une pomme il demanda donc a son fils ainé de surveiller l'arbre, mais ce dernier s'endormit vers minuit et une autre pomme disparut. Il demanda donc à son deuxième fils de veiller sur les pommes d'or mais il ne fit pas mieux que son frère et s'endormit aussi vers minuit. Vint le tour du troisième et dernier fils du roi qui lui ne fut pas rattraper par le sommeil et donc à minuit il vu donc apparaître le voleur qui était un oiseau avec un plumage d'or. Au moment où l'oiseau allait de nouveau voler une pomme le jeune prince lui tira un flèche dessus, il lui toucha l'aile et une plume d'or tomba au sol, la ramassa et le lendemain matin la porta à son père.

Le roi réuni le conseil et décida d'envoyer son fils ainé à la recherche de cet oiseau car une seule de ses plumes valait plus que le royaume tous entier. Le prince se mit en route et a un moment fit la rencontre d'un renard qui lui dit que dans le prochain village qu'il rencontrera il y aura deux auberge, une brillante de lumière et où on n'y danse et chante mais de ne pas y rentrer, il faut qu'il rentre dans l'autre malgré son apparence misérable. Le prince ne pris pas le conseil du renard au sérieux et passa son chemin arriver au village décrit par le renard il rentra dans l'auberge lumineuse, bu chanta et oublia sa mission.

Comme il ne revint pas au château le deuxième fils fut charger de cette mission et comme son frère il rencontra le renard qui lui donna le même conseil qu'a son frère et comme son frère il ne tint pas compte de ce conseil et rentra dans la mauvaise auberge et il oublia sa mission.

Le troisième fils fut charger de cette mission mais lui écouta le renard rentra dans la bonne auberge y passa une bonne nuit. Le lendemain il rencontra de nouveau le renard qui lui donna un nouveau conseil, il lui dit qu'il allait arriver dans un château mais que le garde allait dormir et que c'est là que se trouver l'oiseau d'or mais qu'il était dans une cage en bois et de ne pas le déplacer dans la cage d'or qui se trouver à côté. Le prince arriva donc au château les gardes dormaient, il trouva l'oiseau mais ne tint pas compte du conseil du renard, il plaça l'oiseau dans la cage d'or et celui-ci se mit à crier les gardes se réveillèrent l'enfermèrent en prison et le condamna à mort. Mais le roi ayant pitié de lui, lui demanda d'aller chercher le cheval d'or. Le prince se mit en route rencontra le renard qui lui donna un nouveau conseil, il allait arriver dans un château et dans l'écurie se trouva le cheval d'or mais il ne fallait pas lui mettre la selle d'or mais celle en bois sinon il lui arriverait un malheur. Le prince arriva dans le château vint le cheval d'or dans l'écurie mais ne tenant pas compte du conseil du renard, il lui mit la selle d'or et donc il se fit mettre en prison et condamner en mort. Le roi ayant pitié de lui, lui demanda d'aller chercher la princesse du château d'or. Le prince partit à la recherche de la princesse rencontra le renard qui lui donna le conseil suivant: arriver au château suivant attendre minuit embrasser la princesse qui après sa allait le suivre mais de ne pas la laisser allait voir ses parents. Le prince arriva au château fit se qu'avait dit le renard mais laissa la princesse allait voir ses parents. Et le roi le condamna à morts mais lui demanda pour se racheter de déplacer la montagne en fasse de sa fenêtre et qu'il avait sept jour. Au bout du sixième il n'avait presque rien fait mais le renard apparu lui proposa de le remplacer à cette besogne et le lendemain la tache fut accompli et la princesse partit avec le prince. Et il repartit chez lui avec la princesse, le cheval et l'oiseau d'or sous les bon conseil du renard. Il alla récupérer ses 2 frères à l'auberge, ils rentrèrent chez eux et vécurent eurent longtemps. Mais un jour le jeune prince décida d'aller chercher le renard qui l'avait tant de fois. Il le trouva mais le renard lui demanda une chose peu banale: le tuer et lui couper la tête et les pattes? il le fit donc et le renard se transforma en prince, et c'était le frère de la princesse qui avait subi un sort par une princesse.
Commenter  J’apprécie          10

{* *}