Ce livre ne m'a pas forcément plu, je n'aime pas forcément les histoires policières. Je trouve que le livre est un peu ennuyant...

Mais j'ai bien aimé les décors les endroits dessinés dans le livre.



Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les enquêtes policières, mais sinon je ne le conseille pas forcément.

Je mets la note de 2/5.


Lien : https://www.babelio.com/

Jolie série que celle-ci.

Une belle plume, des couleurs collant parfaitement à l'ambiance années 50, un anthropomorphisme rudement bien rendu et un personnage principal dans le plus pur détective privé de l'époque avec son côté badass blasé... Tout y est pour suivre des aventures toutes très différentes, mais sur fond des problèmes de l'époque dans l'Amérique d'après-guerre : chasse aux "Rouges", racisme, guerre froide,... L'ambiance y est, et les magnifiques dessins nous font traverser les 50 planches d'aventure sans que l'on voit le temps passer!

Une très bonne BD.

Il y a des séries qui s'étiolent, qui périclitent. Quelques-unes restent stables, mais rares sont celles qui ne cessent de s'améliorer. C'est le cas de Blacksad. Pari hasardeux toutefois que de tenter les animaux anthropomorphes. Mais pari réussi. Il n'y a rien à jeter dans Blacksad. Dessin, couleur, mise en page... Tout est bon. Et bien sûr le scénario. Il y a plusieurs raisons à cela, qu'il serait long et fastidieux d'énumérer. Mais il en est une qui me parait essentielle. Au rythme d'environ un tome tous les trois ans, les auteurs prennent le temps de peaufiner leur ouvrage. Et ils ne sont pas très nombreux ceux qui, quand le succès est là, évitent la précipitation.

En lisant le dernier Blacksad, je me faisais la réflexion suivante: il nous semble que les animaux humanisés fassent partie de l'univers de la B.D. depuis toujours. Mais depuis quand exactement? Et sont-ils si nombreux? Mickey, Donald, Pif le chien, Garfield, etc... sont des animaux. La plupart parlent, certains portent des vêtements, mais ce sont des animaux. Gai-Luron lui aussi est un chien. Jusqu'à ce que Gotlib, fatigué de dessiner ses pattes, lui fasse subir une intervention chirurgicale. Dès lors il s'humanise un peu plus. Quel est donc le premier personnage animal anthropomorphe de la bande dessinée? Je me souviens de Chick Bill et de Popol et Virginie au pays des Lapinos. Y en eut-il d'autres? C'est possible, mais ils ne furent pas très nombreux. Donc, l'animal anthropomorphe, qui m'a semblé être un archétype de la B.D. en représente finalement une exception. Peu nombreux sont les auteurs qui ont tentés le défi. Car il s'agit bien d'un défi. Guarnido et Canalès l'ont relevé. Quelle chance pour nous. Une choses toutefois est sûre: un détective désabusé, un univers en lambeau, des personnages cyniques et cruels... Je veux bien manger un âne (ce que je ne ferais évidemment jamais) s'ils n'ont pas lu Canardo dans leur jeunesse.

Un tome qui est encore une prouesse magistrale.

Une nouvelle enquête, des personnages attachants, des illustrations soignées et détaillés à un point, des notes de romantisme et une fin retentissante.

Un bonheur d’avoir eu droit à un nouveau chapitre de cette série.

Dans ce troisième tome, notre héros est confronté à son passé car son ancien ami et mentor n'est pas celui qu'il prétend être. Physicien il aurait"flirté"avec le régime nazi.

D'autres sujets sont abordés dans cet épisode, dont celui sous-jacent du Maccarthysme.

Dialogues et dessins toujours de qualité.

La collection de BD Blacksad, sur laquelle porte ce commentaire, est d'une grande qualité.

Le concept de personnages, mi-humains, mi-bêtes, n'est pas très original pour un dessinateur ayant travaillé pour Disney. Pourtant, tout est différent : le croisement avec les romans de détectives des années 1940, la cohérence entre la psychologie des personnages et leurs totems, le réalisme des lieux représentés, les couleurs et les lumières renforçant les ambiances, les nombreux clins d'oeil (à Batman ou à Van Gogh par exemple), la complexité des intrigues sur les thèmes inépuisables du racisme ou de la corruption, les questions sous-jacentes de l'héroïsme et de la morale, distinguent brillamment cette série.

Je retrouve Blacksad cette fois ci dans les États Unis de la recherche des communistes tout cela dans la course à la bombe atomique.

Les planches sont superbes les caractéristiques animales sont toujours parfaites par rapport aux personnages on comprend de suite en voyant l’animal dans quel camp il se retrouve.

Encore un excellent tome avec une histoire intéressant sur les précédents je trouvais le rythme un peu trop rapide ce qui est moins le cas dans celui la même si on aimerait toujours que l’histoire soit encore plus développée.