- Mais récemment, une résistance au christianisme s'est fait jour.
- Comment l'expliquez-vous ?
- Cela remonte à une ou deux générations, quand le pape Grégoire a déclaré la primatie de Rome sur les pays christianisés.
Dans les cinq royaumes, aucune de nos grandes abbayes n'a été désignée église primatiale, et nombreux sont ceux qui n'apprécient guère la perspective d'obéir à Rome en toute circonstance. Cela ressemble fort à une limitation de nos libertés, et à une restauration de l'Empire romain sous une forme nouvelle.