Louisa Danna

Nous sommes ici sur un drame. Nous allons suivre Lisa dans quelques moments de sa vie.



La psychologie des personnages est parfaitement décrite. Je me suis particulièrement attachée à Lisa et Haylie. J’ai ressenti le stress, la douleur, les émotions, la tristesse. Mon coeur s’est serré par moment, tellement on ressent bien tout ce mélange d’émotions.



La plume de l’auteure, est fluide, facile à lire, recherchée, addictive. J’ai lu ce roman en quelques heures car on ne peut pas le lâcher avant la fin.



Les chapitres sont courts, très bon point pour moi car j’ai horreur de devoir m’arrêter au milieu d’un chapitre 😅



On y retrouve également du suspense avec une fin assez inattendue.



En résumé, j’ai adoré et j’ai passé un excellent moment d’évasion !
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Enfin une lecture qui sort de mes placards. J'avais eu l'occasion de lire le premier tome il y a quelques temps et l'envie d'en savoir plus m'a taraudé durant pas mal de temps. Je suis en vacances et même si j'ai des dates butoirs pour certains livres, je mets de côté par moment pour me faire une lecture perso. J'avais été un peu déçue de la fin du premier tome car il restait tellement de questions sans réponses que je m'étais demandée à l'époque si j'allais lire la suite, car il est vrai que la plupart du temps les seconds tomes me sont moins favorables. Depuis quelques lectures, c'est tout l'inverse, alors j'en ai profité pour ouvrir ce second et dernier tome de cette saga. Ici nous suivons Miko, un jeune garçon qui arrive à entrer dans la Ville 20, celle-là même où Calissa y est (La jeune femme que nous avons eu comme personnage principal dans le premier tome). Elle est devenue maman et adopte très rapidement ce petit Miko qui n'avait qu'un rêve : pouvoir vivre dans une ville. Oui, mais voila la chute est rude, la réalité n'est pas si idéale et le rêve devient rapidement un cauchemar.



Miko est déjà un adolescent lorsqu'il entre dans la famille de Calissa illégalement, sous une excuse ignoble qui a mis de côté cette famille en les montrant du doigt, mais l'amour qui la compose fait que tout leur est égal. Enfin presque, car leur plus jeune fils, Gabriel déteste ce nouveau grand frère qui débarque dont ne sait où. Les années passent et l'animosité entre les deux ne cesse de grandir, pourtant Miko essaye de faire de son mieux. Et puis un jour, il devient un homme et va devoir travailler. Après ses études pour entrer dans la caserne de son père, il se retrouve auprès du commandant Muller, un homme qui déteste son père et ce Miko qui vient d'une autre femme ? Un bâtard, mais également hypothétiquement un traître ? Comment un jeune homme comme lui pourrait être un traître alors qu'il veut simplement faire partie des protecteurs de la ville ? Un métier honorable qui la fait rêver et va lui permettre d'accomplir plus qu'il n'aurait cru. Mais cela ne se fera pas en un jour. Tout comme cette guerre qui se prépare depuis des décennies.



C'est l'histoire d'une famille qui est meurtrie par tout ce que chacun d'entre eux à déjà vécu pour arriver à obtenir un peu plus qu'une survie, parce qu'il faut bien admettre que les conditions de vie dans cette ville 20 non pas changé d'une autre ville, telle la 15 où nous étions précédemment. Les castes sont toujours au nombre de 5, avec les numérotés qui ne sont plus que des êtres humains au service des autres, des objets qui marchent et travaillent pour un salaire de misère jusqu'à la mort. Jusqu'au niveau 5 où les plus riches regardant d'en haut tous les autres. Yonis est de niveau 3, tout comme Calissa et tous deux aident les plus démunis et pour cause. La rébellion n'est qu'un souffle dans le cœur de ceux qui en font partie, mais qui y est réellement ? Car c'est tout le but du jeu de découvrir qui est avec ceux qui veulent que les villes s'ouvrent et que tout le monde a les mêmes droits et ceux qui ne veulent qu'une chose : rester dans leur ignorance et béatitude d'argent. Miko en grandissant comprend que tous ses rêves ne sont que des rêves et que ce qu'il vit n'est absolument pas idéal.



Les inégalités ne cessent d'augmenter, de creuser l'écart entre les différentes castes et les protecteurs n'en portent le nom que pour les plus hauts dirigeants. Protéger serait forcément ceux qui en ont le plus besoin, pas vrai ? Ici, la société a fait en sorte que les plus pauvres soient montrés du doigt et mis de côté, affaiblis un peu plus chaque jour. Lorsqu'un adolescent se rend compte en devenant plus vieux que la vie est une question de survie, il va prendre part au basculement de ses géants, mais à quel prix ? Car il ne faut pas oublier que même si c'est un young adult, certaines scènes sont violentes psychologiquement et physiquement. L'imagination fait ce que les descriptions ne donnent pas et c'est encore pire. Entre le premier tome et le second, il y a quelques années d'écart et entre le début de celui-ci et le final il y en a tout autant si ce n'est plus. Cela nous donne le point final à une dystopie qui n'a pas été simple, non pas à lire, mais à suivre des personnages qui ont vécu une véritable horreur, qui se sont battus pour survivre, perdus des êtres chers (et il va y avoir encore des pertes dans celui-ci) pour un avenir plus radieux, que ces protagonistes soient encore en vie ou non.



J'ai beaucoup aimé revoir Calissa, voir comment elle a réussi à s'en sortir avec Yonis, comment elle continue son combat bien que sa place soit bonne. Elle n'a pas oublié ce qu'elle a connu et ne prête pas attention aux ragots. Sa famille c'est tout ce qu'elle a et Yonis est sa moitié, celui pour qui elle se bat toujours. Ensemble ils n'ont pas besoin de parler, ils se comprennent d'un regard, ce qui est amusant lorsque Miko ou Gabriel tentent de comprendre ce qui se passe. Les secrets se dévoilent avec joie, tristesse et des années de peine pour Calissa. Dire la vérité est parfois une horreur, car il faut réussir à avoir confiance en l'autre et par-dessus tout parler quand il le faut et ça, c'est un vrai problème. J'ai beaucoup aimé les personnages qui gravitent autour de Miko, déjà revoir Calissa et Yonis, ils n'auraient pas été là, j'aurai tiré une sale tête. Ensuite, le meilleur ami de Gabriel, Andy, Raphaël, et enfin Myriam. Chacun d'entre eux a une place importante d'un côté ou de l'autre et apporte un peu plus de mystères pour certains et de réflexions à d'autres.



En conclusion, une suite que j'ai apprécié plus que le premier tome qui n'a pas manqué d'émotions, de traitrises, de questionnement. La guerre sous-jacente est longue à venir, mais il faut être sur de ne pas se louper, autrement les murs d'une ville ne s'ouvre pas comme il le faudrait. Je suis contente de les avoir en version papier ces deux tomes, car je pourrais les relire tranquillement plus tard ! N'hésitez pas à tenter l'aventure.



http://chroniqueslivresques.eklablog.com/bannis-tome-2-miko-louisa-danna-a211652104


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Cela faisait bien un sacré moment que je n'avais pas acheté de livres chez Evidence et j'ai comme qui dirait fait une razzia pour mon noël. Je débute donc avec cette lecture, le plus petit en terme de pages et celui qui changeait de mes habitudes. (à savoir pas un thriller, ou un fantastique) Ici il s'agit d'une dystopie et j'aime bien en lire de temps en temps, cela change de mon quotidien et puis j'aime voir comment le monde pourrait être sous la plume d'un nouvel auteur. Ce qui m'a donné envie de le découvrir c'est cette couverture qui nous laisse un petit gout de reviens-y ! En le voyant arriver avec ces copains, je me suis dis qu'il était fin malgré tout pour une dystopie. Il est vrai que lorsque j'en lis, ils sont plus conséquent, sauf qu'ils ne sont pas des young adult comme celui-ci.



Le prologue nous fait suivre Calissa, une jeune femme de la Ville 15 qui se voit bannir et ainsi pense qu'elle va mourir en quelques secondes une fois les portes de sa ville refermée sur elle. Puis nous remontons dans le temps pour la découvrir plus jeune. Le livre est découpé en deux parties. La première suit ses traces dans cette Ville 15 avec sa famille et tout ce que cela comporte. Étant une personne de niveau 1, comme toute sa famille, elle vit dans la misère. Les sdf de maintenant ont plus de chance de survie dans notre monde que celui crée de toutes pièces par l'auteur. Un monde que nous-même avons laissé à l'abandon, faisant des dégâts incommensurables envers la planète. Un air pollué, des victimes partout, des villages morts, des villes à l'abandon. Seules quelques villes ont réussi à s'en sortir dans des conditions drastiques et un système horrifiant. La naissance de chacun dans une famille lui donne un numéro de niveau. 1 étant le plus faible, celui dont les Hommes d'une manière générale utilise pour des travaux que personne ne voudraient faire, mais il faut bien tenter de survivre. 5 étant le meilleur niveau, celui qui a accès à tout : argent, pouvoir, esclaves sous la forme de numéroté.



Un monde où la solidarité est bien faible, où la plupart des gens se fichent de son propre voisin, voire même de sa propre famille dans le cas d'une honte, celle de refuser un tel système. Cette première partie montre le fin espoir de Calissa, cette jeune femme qui va tout faire pour garder sa famille entière. Après des années de durs labeurs, de pertes monumentales, elle va se retrouver avec sa petite sœur, Gabrielle. Toutes deux doivent survivre coute que coute, la vie est précieuse et la volonté de fer de Calissa est admirable. Grace à Yonis, un jeune homme de niveau 4, leur vie si mince soit-elle va tenir un peu plus longtemps. Tous deux se connaissent depuis l'enfance, depuis qu'elle a parcouru sa ville à la recherche d'une aide providentielle pour sauver les membres de sa famille. Il est le seul qui a répondu présent et qui continue à les aider. Cet espoir si fin, cette petite lumière ne cesse de s'éteindre. Le parcours est difficile, chaque jour est vu comme une épreuve de plus. C'est là que Calissa décide de tout faire pour continuer à survivre, pour elle, pour sa sœur, pour Yonis, jusqu'au bannissement.



Les portes noires s'ouvrent sur un monde hostile. La Ville 15, même si elle n'a jamais été bonne pour la jeune femme, c'est SA vie, SA maison, le seul endroit qu'elle connaît, celui où elle avait peut-être un jour une chance de vivre. tout est balayé en un instant. Calissa est jetée hors des murs et se retrouve seule, de l'autre côté. Cette seconde partie se focalise sur elle et ce qu'il y a derrière. C'est un nouveau monde qui s'ouvre à elle : à la fois hostile et terrifiante, Calissa a beau être de niveau 1, son endurance est une qualité dont elle n'avait pas la moindre idée. Cette seconde partie nous entraîne loin de cette Ville 15, loin des autres Villes qui ont survécu à l'enfer. Chacune de ses villes est régie de la même manière, par niveau afin de réguler la population. De l'autre côté des murs d'enceinte, la jeune femme va vivre une aventure hors du commun. Tout ce qui va l'aider, c'est son instinct de survie. En tant que niveau 1, l'instruction est quasi nulle, lire ? Pour quoi faire ? Seuls les plus hauts niveau y ont le droit. L'égalité que nous pouvons connaître n'est qu'un mot parmi tant d'autres que la plupart ont oublié sa signification.



Il s'agit d'un livre d'ouverture pour les jeunes de 10/15 ans. Les sujets sont graves, intenses, mais pas toujours très développés. Nous avons une histoire qui se lit très vite, aussi bien par le nombre de pages que par la façon dont est décrit chacune des scènes. Nous touchons beaucoup de points dans le récit : la malnutrition voire l'absence totale de nourriture, l'esclavagisme, la différence, le pouvoir, la haine, l'emprise d'un peuple sur un autre, le besoin de garder l'espoir, le besoin d'effectuer un délit pour survivre, l'espoir d'un jour meilleur, l'amour pour sa famille, la jalousie. Certains points ne sont, pour ma part, pas assez détaillé, nous en survolons certains qui me semblent important. Suivre Calissa n'est pas de tout repos. Nous pouvons constater que nous mangeons à notre faim, que le moindre petit bobo peut-être soigné. Pour elle et sa soeur, il s'agit d'une normalité qu'elles ne connaissent pas. Nous savons pourquoi les villes sont devenues ainsi, pourquoi la planète est aussi mal. nous nous doutons bien qu'il y a quelque chose derrière ces portes et bien entendu je n'en dirais pas plus, car c'est à découvrir.



La relation entre Yonis et Calissa se voit venir de très loin. Les réactions de Calissa sont normales dans le sens où elle ne réfléchit pas correctement, pas parce qu'elle est idiote, mais le manque de tout se fait ressentir et forcément ce manque est ce qui la fait parler ou agir d'une manière différente de Yonis. Cette relation est basée sur l'entraide essentiellement du point de vue de la jeune femme qui ne voit que sa survie et celle de sa sœur. Tandis que lui aimerait plus. Cette fameuse nuit est tragique en tout point. La peur mêlée à la souffrance, la maladie intransigeante, Calissa va tout perdre en un instant et pourtant elle ne pensait pas possible de perdre quelque chose vu qu'elle n'avait rien. C'est à ce moment précis qu'elle se rend compte qu'au final, elle avait quelque chose de tangible et le passage hors des murs va lui faire prendre conscience que son avenir est encore plus noir que ce qu'elle a vécu. L'apprentissage est rude, la survie n'est pas terminée pour la jeune femme qui va devoir apprendre de ses erreurs. Faire confiance et trahir est si facile qu'elle va devoir faire ses preuves.



De nouveaux personnages font leur apparition, elle n'est plus seule, mais traitée différemment. Elle vient d'une Ville et si... Et si c'était une espionne ? Les relations avec les autres personnages sont à la fois difficile et contraignant pour elle qui n'a jamais vraiment connu autant de personnes à qui parler. C'est une nouveauté pour elle de s'intégrer à autre chose qu'à ce qu'elle a connu. Son caractère est peut-être difficile, mais elle va en avoir besoin pour continuer à exister. Et la surprise est de taille pour elle lorsqu'elle se rend compte de ce qui lui arrive. Rien n'est gratuit, comme partout, il faut savoir accepter de donner pour avoir une chance de recevoir. Et si la demande est grande, ce qu'elle devra donner est encore plus grand. L'espoir, c'est ce qui la raccroche à cette vie. Malgré tout ce qu'elle a vécu, elle va montrer une détermination et une résignation hors du commun. Son gout d'apprendre toujours plus va lui apporter un plus dans la force qu'elle a déjà naturellement. Chacun des personnages montre des capacités qui en font tous des survivants. Le temps n'est pas un ennemi et ça, le chapitre 25 nous le confirme bien. Il faut du temps pour réussir ce que l'on désire. C'est ce que nous faisons maintenant qui va déterminer l'avenir de nos enfants.



Je suis un peu (beaucoup) déçue du final dans le sens où j'attendais d'en savoir plus sur cette fameuse mission de niveau 3. Comment ont-ils réussi à parvenir à ça ? Que s'est-il passé durant tout ce temps ? Car même si nous nous doutons de ce qui se produit, j'ai ressenti un grand manque sur cette partie. C'est vraiment dommage et j'espère que nous en apprendrons plus dans le deuxième volet de cette duologie. Je l'attends de pied ferme ce dernier tome !



En conclusion, le récit est à la fois léger dans certaines situations et difficile de part la misère qui s'étale sous nos yeux. Calissa est un personnage qui est capable de tout pour sa petite sœur, s'oubliant totalement. C'est un premier tome qui sera parfait pour les plus jeunes qui désire démarrer la dystopie sans trop de descriptions. Beaucoup de points sont abordés tels la famille, les sentiments, la survie et bien d'autres encore déjà évoqués précédemment. Le manque dans la fin ainsi que dans certaines situations me l'a malgré tout fait apprécier. J'attends maintenant la suite afin de pouvoir nourrir ses manques avec plaisir.



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Le premier tome de Bannis m'a été envoyé en format électronique par la maison d'édition, la version papier étant un peu perturbée par la crise sanitaire sans doute. Bien que ce soit un lot Masse critique, la forme m'importait peu.



J'ai commencé ma lecture rapidement et j'ai été assez surprise de voir qu'il ne faisait que 178 pages. Même pour une dystopie jeunesse, ça parait léger. Et je ne me suis pas trompée : tout est léger dans ce tome. On parle plus d'une histoire à l'eau de rose que d'un système totalitaire. Il est plus question d'une ado qui apprend à lire en claquant des doigts que d'une rebelle qui change les choses. Il est plus question d'une ado qui préfère passer un moment torride pendant qu'un proche est en train de mourir que d'un livre avec un vrai fond. J'imagine qu'on a tous nos priorités…



Je n'ai malheureusement pas apprécié et je ne continuerai pas la série.

J’avais tellement hâte de poursuivre cette histoire que j’ai retardé au maximum ma lecture (oui, très logique, je sais :D). En fait, je voulais continuer de vivre les aventures de Calissa et de Yonis et que ça ne s’arrête pas. Il s’agit vraiment d’une duologie « Coup de cœur ».

Dans ce second tome, nous faisons connaissance de Miko, jeune garçon orphelin, est né au cœur des terres dévastées. Il n’a qu’un rêve : intégrer une cité. Yonis a décidé de le prendre sous son aile et de l’accueillir dans sa famille, avec Calissa et leur fils, Gabriel.

Il s’est donc passé plusieurs années depuis que nous avons laissé les personnages à la fin du premier livre.

Au fil des chapitres, nous en apprenons plus sur certains événements qui ont eu lieu bien avant le début de ce second tome. J’ai vraiment apprécié cela. Ça m’a permis de m’immerger complètement dans le récit. L’auteure nous transporte dans un univers de dystopie toujours aussi bien travaillé.

Les personnages sont vraiment complémentaires. J’avoue avoir été directement conquise par Miko.

J’ai encore plus apprécié ce second tome pour lequel j’ai un coup de cœur !

La plume de l’auteure est toujours aussi agréable.
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J'apprécie particulièrement les dystopies et ce premier tome est une très belle découverte : on retrouve les codes propre à ce genre littéraire : les castes et le côté tragique, saupoudré d'une romance pas facile.

Calissa fait partie de la Ville 15, société divisée en niveaux (1 étant les plus « pauvres », 5 les plus aisés). En tant que niveau 1, notre héroïne vit avec sa famille dans la misère ; entre autre, estomac vide, pas d'accès aux soins médicaux, ni aux médicaments, etc.

Malgré la précieuse aide de son ami Yonis, un jeune homme de niveau 4, notre héroïne a bien du mal à sortir ne serait-ce qu'un cheveu de l'eau pour essayer de survivre dans ce monde injuste.

D'ailleurs, pour tenter de sauver sa petite soeur gravement malade, elle s'introduit chez un guérisseur. C'est pourquoi elle sera punie et se fera bannir pour vol. Les habitants de la Ville 15 pensent que les portes de la ville à peine refermées, ils meurent en quelques minutes à cause de l'air impur. La suite, je vous la laisse découvrir par vous-même !

Le livre est divisé en 2 parties : dans la première partie, nous découvrons la vie au sein de la Ville 15 ; dans la deuxième partie, nous découvrons la vie après le bannissement de Calissa. La survie n'est pas terminée… et on vit tout ça avec notre héroïne grâce aux nombreuses descriptions.

Les sujets abordés sont des sujets durs, graves, comme, par exemple, la malnutrition, l'esclavagisme, l'espoir, et qui sont plutôt bien développés. Selon moi, le point le plus important de ce roman est l'amour. Il est d'une puissance incroyable : l'amour parental, l'amour fraternel, mais également l'Amour avec un grand A.

Le livre m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page. On espère de tout coeur un certain final… mais on n'ose pas vraiment y croire, car c'est juste impossible.

Je suis juste un peu déçue du dernier chapitre. Comment ont-ils réussi à arriver à ça ? Que s'est-il passé entre ce moment et l'avant-dernier chapitre ? Même si je me doute bien, il y a un vide, une fin un peu précipitée, je trouve.

La plume de Louisa Danna est fluide, agréable. le roman se lit très facilement.

En conclusion : je n'attends qu'une chose : lire le deuxième tome !
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Voilà un moment que je n’ai pas lu une agréable dystopie. J’avoue que j’ai choisi ce livre pour sa couverture. L’univers de la dystopie est assez bien décrit, idéal pour celles et ceux qui veulent découvrir cet univers.

Ici on suit Calista, une jeune fille qui n’a pas la vie facile et qui appartient au rang des pauvres. Sa vie bascule quand elle vole des médicaments et de là elle se fait bannir.

Ce roman s’adresse plus à un lectorat jeune adulte voire ado mais il passe bien pour les adultes. Il est fluide, entraînant et c’est une belle manière de découvrir la dystopie.

Les personnages sont attachants.

Le seul point négatif une fin un peu trop précipitée.

Hâte de lire le second tome.

Et bien pour moi, ça l'a fait :) On part sur une dystopie, assez classique, avec un système de cast par niveau . Niveau 1 les pauvres , et dernier niveau les riches et les instruits ( en résumé) .

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Bien évidement, nous suivons Calissa qui est de niveau 1. Ça vie est difficile, et doit se battre pour elle et pour sa famille pour s en sortir.

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Elle est amie avec Yonis, qui lui est de niveau plus élevé, ce qui, bien sûr, va poser soucis à la famille, surtout quand l'histoire entre les deux jeunes gens va évoluer. Quant à l'histoire, elle va très vite, le roman est très court.

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On est clairement sur un schéma classique, ce roman n'a rien d'original MAIS j'ai beaucoup aimé suivre les personnages, je me suis beaucoup attaché à Calissa.

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L'écriture est très fluide, assez simple, je pense que ce roman correspondrai parfaitement a de jeunes adolescents voulant découvrir le genre.

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Il y a un petit côté écologique, préservation de la planète, petite prise de conscience pour le futur :)

J'ai hate de decouvrir la.suite qui, je crois, est sur le personnage masculin, Yonis :)

J'adore lire de temps en temps des dystopies, j'aime le côté tragique de ce genre de littérature en plus il y a toujours une belle romance. Celui-ci ne déroge pas à la règle car il y a le côté tragique avec la destruction de la vie terrestre du coup les survivants vont s'organiser une nouvelle vie et des nouvelles règles ce qui rappelle d'autres dystopies.



Par contre, je trouve qu'elle est plus simple à comprendre mais parfois elle est très dur ce qui permet d'être lu aussi bien par des adultes que par des ados.



Quand à la romance entre Calissa et Yonis, elle est juste très belle qui commence par une amitié et grâce à l'aide apporté par Yonis la vie de Calissa va être un peu meilleur car bien en tant dû dans ce genre littéraire il y a des personnes aisés et des personnes pauvres Calissa fait partie de la dernière catégorie, elle va donc avoir un vie très dur.



Ce que j'ai le plus aimé c'est tous l'amour qu'il ressort dans ce livre, il y a l'amour des parents envers leurs enfants, l'amour entre deux sœurs car Calissa va s'occuper de sa petite soeur et l'amour entre deux êtres , Calissa va connaitre tous ces amours et c'est ça qui va la rendre plus forte. Jusqu'au jour où elle va prendre trop de risques mais que ne ferions nous pas par amour ?



Mais ce que j'ai le plus apprécié c'est la fin même si j'aurais aimé avoir plus de chapitres après il y a un deuxième tome qui va sortir prochainement du coup j'espère qu'il apportera des précisions car une fois n'a pas coutume ce n'est pas le personnage principale le héros, je ne rente pas dans les détails car c'est plus sympas de découvrir par sois même.



En tous cas, c'était une très belle découverte.



Au final, j'ai eu un coup de cœur, c'est une très belle dystopie bien ficelé, simple et pleins d'amour mais surtout j'ai hâte de lire le deuxième tomes.     



 
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Je tiens d'abord à remercier Évidences Éditions et Babelio pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la Masse Critique.



Mon résumé : La planète est ravagée. La population s'est réfugiée dans des villes emmurée, dans l'espoir de survivre à l'air irrespirable de l'extérieur. Dans ces villes, le peuple est classé par niveaux. Le niveau 1 pour les plus pauvres, et le niveau 5, pour les plus aisés. Calissa fait parti du niveau 1 et, chaque jour elle et sa famille doivent lutter pour leur survie. Un soir, elle s'introduit chez un homme de niveau supérieur afin de lui voler des médicaments. Malheureusement pour elle, les choses tournent mal et elle se fait bannir de la cité.



Mon avis : J'ai beaucoup aimé cette dystopie. L'histoire est assez simple et peut manquer d'une touche d'originalité mais les codes du post-apocalyptique sont bien présents. On sent bien le côté jeunesse du roman mais je trouve que ce n'est pas dérangeant. Ce livre est plutôt destiné à un jeune public (de tout jeunes ados) qui souhaite découvrir le style dystopique/post-apocalyptique. La plume est simple et efficace. Je me suis rapidement attachée aux personnages de Calissa et Yonis. J'ai passé un bon moment lecture, sans prise de tête malgré quelques scènes dures et tristes. Toutefois, je trouve la fin un peu précipitée, j'aurais apprécié savoir ce qu'il s'est passé durant les 25 dernières années. Peut-être (et je l'espère) que cette zone d'ombre sera éclaircie dans le second tome. Un chose est sûre, je me laisserais tenter par la suite !

J'ai été très contente de recevoir ce livre car déjà la couverture est sublime et le résumé m'a tout de suite donné envie de le lire, principalement car j'aime beaucoup les dystopies ! J'ai donc été ravie et pas déçue de cette lecture !



Ce livre respecte parfaitement les codes de la dystopie, il est assez introductif et il y a peu d'action mais il n'est pas du tout ennuyant au contraire il se passe beaucoup de choses ! D'ailleurs, l'univers est très bien construit. Par certains aspect ce livre m'a un peu fait penser à Hunger Games et à show stopper.



L'écriture est fluide, il se lit très rapidement, et il est additif, je ne voulais pas le lâcher.



Calissa, le personnage principal, m'a beaucoup touché, elle a eu une vie pas facile et très éprouvante moralement. J'ai beaucoup apprécié sa force de caractère et son courage. On a qu'une envie c'est de l'aider.



À côté de cela, ce livre véhicule de très beaux messages tout au long de l'histoire et c'est un des points clefs d'une belle lecture.



J'ai été un poil déçu par la fin, je ne peux pas trop vous en dire mais j'aurais aimé en savoir encore plus sur ce qui se passe pour Calissa, car j'ai l'impression que le tome 2 sera centré sur un autre personnage mais j'en dis pas plus si jamais vous souhaitez le découvrir



J'ai passé un très bon moment, c'est déjà sûr et certain que je lirais le tome 2 quand celui ci sortira.

Grâce au partenariat avec @evasioneditions, j'ai eu le privilège de recevoir en #servicepresse ce thriller psychologique.



Lisa est psychiatre. A la suite d'une agression, elle fait des cauchemars horriblement réalistes et sanglants. De plus, elle a fait une faute professionnelle avec un de ses patients. Elle est obligée de consulter un confrère psychiatre pour pouvoir exercer à nouveau. Dans la salle d'attente, elle rencontre Haylie, jeune fille mutique de 12 ans. Celle-ci est placée sous la tutelle de Zora, "mère d'accueil". Un puissant lien se crée entre ces trois-là. Pourquoi et comment ? Lisa l'ignore. Elle sait simplement qu'elle a besoin d'elles dans sa vie pour aller mieux. Mais une ombre rôde autour de Lisa. Tout comme la mort touche les proches d'Haylie. Quel est le lien entre elles deux? Qui est cette ombre qui suit et observe Lisa à tout moment de la journée sans que celle-ci parvienne à la confronter ?



Bravoooo à @louisadanna_ pour ce thriller psychologique mêlé de drames et d'émotions et dont la fin particulièrement m'a retourné le cerveau. Je ne l'avais pas du tout vu venir.



De sa plume incisive, @louisadanna_ brosse à merveille ma psychologie des personnages. Elle distille le suspense avec brio. Enchaînant les situations stressantes et le calme entre deux tempêtes. Le rythme est soutenu même si les chapitres sont courts. Elle nous ménage des pauses pour reprendre notre respiration. Car oui, certaines scènes se lisent sans s'en rendre compte en apnée tellement elles sont intenses.



Tout au long de l'histoire, on cherche à deviner et à comprendre les liens entre tous les protagonistes, à découvrir qui est cette ombre qui suit Lisa, à vouloir aider Haylie, ...



Et cette fin ! Mais cette fin ! Un dénouement auquel je ne m'attendais pas du tout. J'en ai encore le cerveau qui frémit 🤯🤯🤯

Le monde dans lequel nous sommes se trouve dans le futur après une guerre nucléaire. La population est regroupée dans des villes et "classée" en niveaux. On va donc suivre Calissa, jeune fille, qui doit se démener pour survivre car c'est une niveau 1... Elle commet une terrible erreur qui va entraîner son bannissement de la ville 15. Elle va devoir se débrouiller pour survivre dans un monde hostile où l'air est soi-disant irrespirable... Le gouvernement aurait-il menti ?



Au début de ce roman, on rencontre Calissa, enfant, qui pose des questions à ses parents et à son grand-père sur le monde dans lequel ils vivent. J'ai trouvé ce jeu de questions réponses peu crédible et pas forcément intéressant malgré ce que nous y apprenons.



J'ai trouvé que le début était long et en même temps les explications données sont importantes pour la compréhension du monde dans lequel nous nous trouvons. Une fois que l'histoire "démarre" j'ai vraiment trouvé ça chouette. On a envie de savoir où tout ca nous mène ? Qui sont les bargeots qui gouvernent ce nouveau monde ? Comment va s'en sortir Calissa dans ce monde hostile ?

Les rebondissements nous donnent envie de poursuivre malgré quelques passages un peu rapide à mon goût.



J'ai beaucoup aimé le personnage de Calissa, cette jeune fille qui se bat pour ceux qu'elle aime jusqu'au bout de ses tripes. J'ai bien aimé Yonis aussi, qui malgré sa condition de privilégié n'hésite pas à aider son amie.



Dans l'ensemble c'est une histoire que j'ai aimé, qui se lit très vite et est facilement accessible. J'ai très envie de connaître la suite qui portera sur un autre personnage et j'espère qu'on saura ce qui est advenu de Calissa...

Le commentaire de Cathy : COUP DE COEUR!



J'avais tellement hâte de poursuivre cette histoire que je me suis empressé de lire ce second tome, surtout vu la fin que l'auteure nous avais proposé.

Miko est né au cœur des terres dévastées, le jeune garçon, orphelin, vit avec son grand frère, mais il a un rêve, intégré une cité.

Yonis, devenu un des protecteurs de la cité 20, décide de le prendre sous son aile et de l'intégrer à la famille qu'il forme avec Calissa et leur fils Gabriel.

Les années passent, devenu adulte Miko est complètement désabusé par les inégalités et le pouvoir en place, ayant envie de changer les choses, il va devoir faire beaucoup de sacrifice pour y arriver, la guerre est dorénavant la seule solution. Louisa Danna a fait le choix de ne pas reprendre son histoire en ligne directe avec le précédent tome, ce qui m'a un peu surprise, déstabilisé même, mais très vite, j'ai retrouvé mes marques surtout lorsque j'ai retrouvé Calissa et Yonis.

Il s'est passé plusieurs années depuis que nous avons quitté ces deux personnages, ils ont réussi à intégrer une nouvelle cité, ils sont devenus parents et on découvre qu'ils ont accueilli en secret un garçon, Miko, venu de l'extérieur.

Au fil des chapitres on en découvre plus sur certains événements qui se sont passés ultérieurement, j'ai aimé que l'auteure distille de cette façon certains éléments, cela m'a permis d'encore mieux m'immerger dans ce récit.

L'auteure a une plume toujours aussi agréable, comme pour le premier tome, j'ai un coup de cœur pour ce roman.
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Le commentaire de Cathy : COUP DE COEUR!



Coup de cœur pour ce roman de Louisa Danna.

Dès les premières pages, j'ai ressenti énormément d'empathie pour Calissa.

Cette jeune adolescente vie ou plutôt survie dans une des dernières villes ayant été construite après la dernière guerre.

Les bombes nucléaires ont détruit la majeure partie du monde, cette nouvelle société est très réglementée, plusieurs castes existent dans la ville.

Calissa est de niveau 1, le pire de tous, chaque jour elle doit lutter pour survivre jusqu'au jour où elle va commettre un délit.

La sentence est irrévocable, elle va être bannie, que va-t-elle trouver aux frontières de la ville ?

Je viens de passer un excellent moment de lecture.

Les romans dystopiques font partie de mes lectures de prédilection, j'en ai lu pas mal, mais je trouve que l'auteure a réussi à tirer son épingle du jeu avec l'histoire qu'elle nous propose.

Le récit est rythmé, l'ambiance de ce roman est prenante, le personnage de Calissa est attachant, j'ai de suite beaucoup aimé sa personnalité, sa force et son caractère. Ce premier tome se termine d'une façon qui m'a donné envie de très vite connaître la suite, vivement la suite pour enfin retrouver Calissa.
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Je suis toujours mal à l'aise à l'idée de mettre une mauvaise note à un roman que je n'ai pas apprécié, mais étant donné que je l'ai reçu dans le cadre de la Masse Critique Babelio, je ne peux pas me défiler.



Sur le papier l'histoire était bonne, bien que faisant penser à Divergente et aux autres dystopies du même genre, mais elle ne m'a pas convaincue.



Petit aparté, le livre comporte plusieurs grosses fautes d'orthographe, ce qui déjà ne fait pas très sérieux, d'autant plus qu'il semble destiné à un public jeune.



Ensuite, la plume est très basique, je pensais lire du Young Adult mais on part plus sur un livre destiné aux pré-ados.



On suit une héroïne issue de la caste la plus basse, qui bien que curieuse et débrouillarde n'est pas éduquée, et malheureusement ça implique un background peu développé et peu étoffé : forcément, quand on suit un personnage ignorant... ça entraîne aussi des situations peu crédibles par moments.



Et quand enfin, vers la fin, on voit notre héroïne se faire confier sa première mission et qu'on se dit que ça va devenir intéressant car les choses bougent, eh bien... on a droit à une ellipse qui passe toute la dite mission à la trappe.



Alors oui c'est un tome 1, supposé poser les bases, mais il est frustrant du début à la fin, car justement il peine à poser les dites bases et en plus esquive la partie qui aurait pu être intéressante...



C'est vraiment un roman destiné à des jeunes qui débutent dans la lecture de dystopies et non à des lecteurs qui ont déjà de la bouteille dans le genre.
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