Le rythme des saisons, dans l'esprit romantique, personnifie la fuite du temps. Si la terre est éternelle, l'existence humaine est brève. Face à elle, l'homme est confronté à sa dimension mortelle. La nature est aussi l'endroit où l'on écoute battre son cœur et où l'on projette sa conscience et ses états d'âme. (p 398)