J'éviterai égalent de commenter le twerk que je peinais à cerner jusqu'à ce qu'une de ses adeptes ne m'explique qu'il s'agissait à l'origine d'une danse abortive censée aider les femmes à décrocher les embryons non désirés. J'adore l'anecdote, mais je reste dubitative face à la mise en scène des nanas à quatre pattes twerkant dans des jacuzzis à côté de mâles très fiers d'étaler leur pognon de parvenus et boire du champagne en prenant des poses prétendues viriles. Je doute que les rappeurs y fassent l'apologie de l'avortement.